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 Fiche de Nell ♥

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Eileen Hers
Eileen Hers
Mage renommée »
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Expériences : 9530
Age : 31
Localisation : Natale : Riorrim; Omnes / En ce moment : À Erret

.: I.D.C.A.R.D.☆D'Elys :.
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MessageSujet: Fiche de Nell ♥   Fiche de Nell ♥ EmptyMer 1 Mai - 16:47

Fiche K. Hyun Jun (de Nell *-*) :: 

[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
Nom : Jun.
Prénom : Kyun Hyun. 
Âge : Vingt-quatre ans. 
 Date d'anniversaire : Trente juillet. 
Origine : Corée du sud - Séoul. 
Sexe & Orientation: Masculin ▬ Hétérosexuel.

Poste : Psychologue. 
Groupe : School staff. 

[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
Décris ici tout ce qui concerne la mentalité, la personnalité de ton personnage. Attention, reste bien en accord avec le groupe dont il va faire parti, ne fait pas une Doll avec des sentiments, ce serait illogique. On ne demande pas un minimum de ligne mais le mieux serait de développer à fond cette partie pour qu'on en sache le plus possible.
Depuis combien de temps ton personnage est-il ici ?
Hyun doit sans doute être là il y a de cela trois ans. Dès l'âge exigé et requis, on pouvait ainsi dire qu'il a rejoins Sainte-Croix et ce, dans l'immédiat.

Quelle relation ton personnage entretient avec les élèves ?
Généralement, tout le monde l'évite. Après tout, qui aimerait donc tuer le temps avec un dépressif comme lui ? D'ailleurs, quelques membres du club de journalisme prétendent même que c'est plutôt lui qui aurait besoin de consulter un bon psy. De grossière débilités ridiculement rédigées. Et dire qu'on abattait des forêts pour que des sots puissent assouvir leurs caprices ainsi que leurs lubies irréfléchies ! Tss. Ç'en était presque pitoyable. Et pourtant, certaines filles gloussent sur son passage. D'autres font exprès d'enfreindre les prohibés imposés au sein de la pension pour simplement aller le voir, histoire de pouvoir le scruter durant l'heure d'entretien. Et, parfois, elles inventent elles-même des problèmes avec X ou Y, prétextant se sentir oppressées ou que sais-je encore. Ce ne sont que des balivernes, rien de plus. Malheureusement, de son côté, il ne perçoit pas les choses de la même manière. En effet, les élèves trop perturbés psychologiquement ou complètement excentriques, il leur parle, les écoute, et finit par leur dire : casse-toi. Il comprend parfaitement l'influence qu'il exerce après de tous ces demoiselles mais il reste strictement professionnel, et ce, même s'il aborde alors un sourire narquois à chaque fois. Après tout, n'est-ce pas amusant de voir des gosses se démener pour un rien ? Surtout qu'ils étaient tous pareils. Oui, ils étaient tous apathiques et boulimiques à souhait. Sans exception. De vrais moutons.

Quelle relation ton personnage entretient avec l'équipe de l'école ?
Eh bien... S'il a du succès auprès des étudiants, on ne pouvait pas dire que ses collègues fassent de lui un individu courtois et sociable. Au contraire, le personnel trouve même que son air se fait un peu trop hautain et qu'il exècre trop de monde, pour simplement dire, tout le monde. Tous le trouvent trop ironique dans ses propos, même cruel. Effectivement, ses sourires ne sont que moqueurs, ses gestes d'affections n'en sont même pas un et ne parlons même pas de l'attention dérisoire qu'il porte à son entourage ; ce mec est un gros connard, ni plus, ni moins. 

Le métier que ton personnage exerce lui plait-il ? Pourquoi ?
Il hait ce métier mais a su y prendre du plaisir en se moquant d'autrui. Toutes ces personnes possédant des problèmes ne sont que des imbéciles qui caressent sa vie et s'en vont, fugaces, tel une brise. Malheureusement pour eux, tous leurs secrets, leurs hontes ou encore leurs plus grandes peurs : il les connaît tous. Cependant, le secret professionnel l'interdit d'exhiber quoi que ce soit. Seulement, qui avait donc dit qu'il était un de ces pions ?

Que pense ton personnage de ce projet ?
Stupide. Utopiste. Inconcevable... En fait, il s'en fout. S'il a voulu y prendre part, il serait ridicule de trouver cette idée complètement monstrueuse. Soyons cohérents, pas schizophrènes. 

[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
24 ans : J'ai toujours trouvé le monde injuste. Mais eux ce sont les pires : les enfants, âmes corrompus ; je ne les ai jamais trouvé innocentes et pures, comme le disaient certains. Pourtant, tout le monde les aiment.

10 ans : Les enfants sont cruels, mais parce qu’ils sont petits, on leur pardonne. Et moi ? Je suis petit aussi. Mais moi, on m’abandonne. Un jour, je serais grand, et je leur montrerai. Pour l’instant j’endure mais la roue finit toujours par tourner, je le sais, j'en suis sûr. Je changerais. Il le faut. Un jour, ils verront. Ils verront, eux, ceux que je hais, ceux que je déteste. Oui, tous. Et moi, je ne pardonnerais pas. Jamais. Je ne suis pas niais. Je le sais, je le sens, que tous les jours, ils se moquent de moi. Ils m’insultent, ils m’humilient. Et sans rien dire, je supporte. Ça les fait bien rire, et à moi aussi. Si jeunes, mais déjà bourreaux, se délectant de la souffrance des autres. Et surtout de la mienne. Mais un jour, je serai fort. Un jour, je serai beau. Un jour, ils m’aimeront. Oui, un jour, tout changera. Et ça sera trop tard. Pour l'instant, j'attends mon heure. Et j’observe. Quoi donc ? La bêtise humaine, entretenant ma haine. On m'a dit que c'était la jungle dehors. On m'a dit que soit tu es faible, soit tu es fort, que soit tu gagnes, soit tu perds. Mais je sais que tout cela est éphémère. Aujourd'hui, ils sont stars de la cour de récré, playboys des bacs à sable, mais demain sera un autre jour. Tous, ils oublient que le temps passe, et qu'à un lendemain, ils ne seront personne.

16 ans : Le temps est passé, les choses ont changé. Je suis fort et beau. Ils m’aiment, ils m’admirent, ils me jalousent, ils me respectent. Mais moi je les méprise, tous. Visiblement, ils ont la mémoire bien courte. Moi pas, dommage. En effet, je n’ai pas oublié l'enfer de mes 10 ans ; je n’ai pas pardonné leur cruauté. Tout ce que je sais, c'est que jamais je ne les aimerais. Cependant, en me voyant seul, toujours, on me dit de laisser tomber, de me familiariser. C'est trop dur ; je dois vivre avec mes blessures, cela me permet de ne pas devenir complètement fou. Mais personne ne le comprend. Au lycée, dans les rues, tout le temps, on me trouve inaccessible. Sont-ils donc tous débiles ? C'est faux, je me protège juste d'eux. Eux, les créatures versatiles à la suite du plus fort. Cependant, aujourd'hui, le plus fort, c’est moi mais je n’en profite même pas ; je me contente de vivre dans ma bulle, loin de la médiocrité du monde. Parfois, je vois des enfants, ils se mettent à tous contre un. Et celui qui reste seul a quelque chose dans le regard, comme une volonté de grandir, vite, plus vite que les autres. Je ne bronche jamais, les regardant toujours. Ce gosse deviendra un bouc-émissaire, comme moi, comme d'autres avant lui, et comme d'autres après lui. Finalement, le monde était bien fait. Ou peut-être pas. Il y a aussi eux, ceux que je hais aussi bien que j'adore. Ceux qui m'ont gâché la vie, ceux qui m'ont déçu... Ceux qui m'ont détruit. 

C'était mes parents mais c'était aussi mon pire cauchemar.
Maman. Ton plus grand rêve était la liberté ; c'est pour ça que tu aimais tant les avions, voler dans le ciel comme un oiseau... Être libre. Et moi, peut-être que j’entravais cette liberté. Alors, pourquoi m’as-tu fait venir au monde ? Tu ne venais jamais me voir. Je me pose tellement de questions auxquelles tu n'en as rien a fiche. M’as-tu seulement aimé un jour, une heure, une minute ? Ou n’étais-je qu’une entrave à tes projets ? Et toi, papa. Ton plus grand rêve était de briller ; c'est pour ça que tu es devenu pilote. Un métier qui impressionne, une belle carrière : la réussite. Moi je ne souhaitais qu’une chose : qu'un jour tu te souviennes que j’existe et que tu sois fier de moi. Que tu me regarde avec les yeux d’un père au lieu de préférer tes maudits avions. À cause de cela, je n’ai peur que d’une chose, moi, le grand insensible, le cœur de pierre, l'homme infléchi : les avions. Je n’y ai jamais mis les pieds pourtant, mais ils sont la cause de votre absence, parce que vous les aimiez plus que moi. Pendant que vous profitiez du ciel, moi j’étais seul. Tous les jours j’attendais. Un coup de fil, une lettre et peut-être même une visite... Je crois bien que c’est ce que je désirais le plus au monde. Je m'en fichais des cadeaux, je m'en fichais de l'argent. Tout ce que je voulais, tout ce que je désirais, mon seul souhait, mon seul voeux : c'était de ne plus jamais être seul le jour de mon anniversaire, le jour de Noël... Ou tout simplement, tous les jours. J’ai tellement attendu que vous passiez cette maudite porte ! Putain de merde, ce que je voulais vous voir, tous les deux ! Savez-vous combien de nuits j'ai dû veiller, dans l'espoir de ne jamais vous rater si vous passiez ? J'avais beau prié, ce n'est jamais arrivé. Vous m’avez simplement abandonné. Et le jour où j’ai reçu cette lettre d’émancipation, j’ai perdu mes dernières illusions. J’ai compris que jamais je ne vous reverrais. Pourtant, je ne demandais pas la lune. Mon seul désir était de me sentir aimé, que vous soyez là pour moi comme des parents pour leur fils. Était-ce trop demander ? Si vous saviez comme je vous en veux. 

19 ans : Et le temps passe, et la tristesse n’a pas diminué. Je vous en veux tellement. Au fond,  je n’étais qu’une charge pour vous et vous m’avez condamné à ma solitude. Je n’ai pourtant pas demandé à naitre. Alors... Pourquoi est-ce à moi de payer pour vos erreurs ? Parce que j’en suis forcément une, sinon vous ne seriez pas parti. Pourquoi c’est toujours aux enfants de payer pour les grands ? C’est trop facile. J'étais une étoile invisible. La petite étoile qui s’éteint et qui, petit à petit, voit sa lumière lumière décliner. De plus en plus, comme elle, je me noyais dans le chagrin. Parce qu’en moi, plus rien ne s’illuminait. J'ai toujours eu de la peine parce que vous ne me voyez pas, mais mon amour me freine, alors je ne vous disais rien. Pourtant, j'hurlais à l’intérieur. Je criais, sans cesse, je clamais : Je suis là, regardez-moi ! Mais vous restiez toujours dans les cieux, inaccessibles, laissant les abysses m'engloutirent. Et chaque jour se brisait mon cœur, parce que vous ne m'entendiez pas. Parfois, j'essayais de vous parler. Mais aussitôt, je me désolais ; c'était la même chose à chaque fois : vous me coupiez la parole. Est-ce à cause de ma toute petite voix ? Est-ce parce que je voulais trop exister pour vous, que je n'arrivais pas à vous en vouloir quand vous me disiez que vous ne pouviez pas me parler ? Chaque fois, chaque jour, la petite étoile que j'étais se noyais. Comment avancer en souriant? Trop difficile, j'étais constamment délaissé et je me sentais chaque jour un peu plus fragile. J'ai essayé, vraiment, à créer des souvenirs avec vous. J'avais commencé mes études, j'ai eu mon brevet, mon bac, j'ai travaillé, encore et encore. Pour tenter de m'exprimer autrement, de vous plaire autrement. Mais une nouvelle fois, vous m'aviez ignoré. Haha, c'est con mais je me sentais de plus en plus minable... Et triste. Tellement triste. J'ai finis par me sentir coupable, tellement que je suis débile. Un pauvre con, vraiment. Mais malheureusement, j'en venais à me demander pourquoi j'existais. Et c'est toujours le cas. Mais désormais, je ris. Je ris devant une vielle farce que m'a apprit le temps : la vie va et vient, elle donne et reprend, un bonheur pour un malheur. Et aujourd'hui, c’était votre tour d’en faire les frais.

20 ans : C'est cet avion si cher à vos yeux qui vous a conduit à votre perte. J'étais pourtant chez moi, à ne rien demander, dans mon coin, quand on m'a appelé. J'avais eu l'espoir d'un aveugle et l'espérance d'un sourd, comme si rien ne s'était passé : mais ce n'était pas vous. Encore. Cependant, on m'a demandé d'allumer ma télé. Quand j’ai entendu les informations, j’ai eu du mal à le croire. C’était pourtant vrai. Un crash, pas de survivants. C’est triste à dire, mais je crois que je n’ai même pas eu de peine. Parce qu’au fond, qu’est ce que ça change pour moi ? Je ne suis pas votre fils. Oh, de sang, peut-être. Mais pas de cœur ; vous n’êtes pas ma famille et vous ne l’avez jamais été. Désormais, j'espère encore. Quoi donc ? J’espère qu’au moins une fois dans votre vie, vous aurez eu des regrets. J’espère juste que je vous ai manqué quelque fois. Vous, vous m’avez manqué tous les jours de ma vie. Mais c’est terminé maintenant ; je ne serais plus jamais triste pour vous. Et si un jour je deviens père, je ferais tout pour qu’il ne grandisse pas comme moi. Je ferais tout pour qu’il ne soit pas seul... Et surtout, je ferais tout pour qu’il ne regrette pas d’être né. Absolument tout.

21 ans : Je suis un adulte. Peut-être seul, qu'importe. Je suis un adulte. Je continue les études pour être aussi brillant que toi, Papa, mais jamais je ne négligerai ce qui compte pour moi. Jamais. Malheureusement, je n'ai pas votre argent, vous qui m'avez renié de votre testament. Je suis donc seul au monde, face à la pauvreté, comme toujours. J'aurai vraiment aimé être choyé, être comme X ou Y, être quelqu'un d'autre. Mais ce n'est pas le cas. Alors, j'essaye de travailler pour réussir mes études, pour devenir quelqu'un d'aussi important que vous. J'enchaîne boulot sur boulot, tous aussi ridicules les uns que les autres. Je n'ai jamais le temps de dormir, toujours dans mes révisions, dans mon taff : mon âme se voue entièrement aux études. Cependant, j'ai été renvoyé hier. Alors, aujourd'hui, j'ai essayé de trouver un autre travail, sans me casser encore plus la tête afin de payer ce qui me reste d'années. Et demain, je serais là-bas, dans un autre monde mais toujours dans ma bulle. Sainte-Croix, tu es grand ; fais de moi un homme beau. 

Aujourd'hui, qui suis-je ?
Je suis une étoile qui tout d’abord scintille, puis mon éclat se voile et c'est de gris que je m'habille. La lumière de cette constellation est tellement belle, tellement belle que de partout elle brille. Mais l’âme humaine est trop cruelle. Et doucement, la flamme vacille. Envahie par le désarroi, la petite étoile décline. Étouffée par trop d’indifférence, doucement elle s’incline et tire sa révérence. Emportée par son chagrin, une petite étoile s’éteint. Je suis cette petite étoile déchue, reniée par les siens, exilée du ciel et condamnée à vivre seule. Si seulement j'avais pu vous manquer. Vous, je vous le redis, vous m'avez manqué tous les jours, à chaque instant de ma vie. Encore une fois, je rigole devant mes paroles. Et puis, quelle ironie. Je crois que je ne vous aurais jamais autant parlé qu’aujourd’hui, devant votre tombe. Il a fallu que vous quittiez ce monde pour que je puisse vous voir. Soit, je vous laisse, je ne reviendrais pas. Une nouvelle vie m'attend, sans vous, encore une fois. Mais cette fois-ci, je n'aurais aucun espoir et aucun regret à avancer. 


Je vous le dis une dernière fois, 
Un message d'adieu, 
Neuf petits mots,
Trente et une lettres :
Je vous hais. 
Je vous aime.
Rest in peace
.


[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]

C'est quoi ton nom ? Dyeu, mais on me nomme aussi Nell. 
Tu peux nous dire ton âge ? Le même âge que ta mère quand elle avait mon âge.
Comment t'as connu le forum ? C'est l'autre [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] qui me l'a fait connaître, patate. 
T'as lu le règlement ? Va mourir. J'ai faim. 
T'aimes les grenouilles ? PATATE.
Autre chose mon chou ? PATATE.


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Eileen Hers
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MessageSujet: Re: Fiche de Nell ♥   Fiche de Nell ♥ EmptyMer 1 Mai - 16:47

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<div style="border-left: 5px solid #CFE625; border-right: 5px solid #CFE625; background: #F9FAE1; width: 470px; margin: auto; border-radius : 0px 0px 0px 0px;"><img src="http://img11.hostingpics.net/pics/184363hyunban02.png" width="470" >
<table border="0"><tr><td align="left"></td><td align="left">[b]Nom [/b]: Jun.
[b]Prénom [/b]: Kyun Hyun. 
[b]Âge [/b]: Vingt-quatre ans. 
 [b]Date d'anniversaire [/b]: Trente juillet. 
[b]Origine [/b]: Corée du sud - Séoul. 
[b]Sexe & Orientation[/b]: Masculin ▬ Hétérosexuel. </td><td align="left">
[b]Poste[/b] : Psychologue. 
[b]Groupe [/b]: School staff. </td></tr></table>

<table border="0"><tr><td align="left"><img src="http://www.pixenli.com/images/1365/1365368324015135700.png" border="0" alt="" /> </td><td align="left"> <img src="http://www.pixenli.com/images/1365/1365368394093735600.png" border="0" alt="" /></td></tr></table><table border="0"><tr><td align="left"> <div style="margin:5px; width: 190px; font-size:10px; text-align:justify; background: #F9FAE1; padding:10px; border: #CFE625  solid  2px; -moz-border-radius: 10px; -webkit-border-radius: 10px; border-radius: 10px; box-shadow: 0px 0px 0px Black;"><div style="width:100%;height:220px;overflow:auto;">Décris ici tout ce qui concerne la mentalité, la personnalité de ton personnage. Attention, reste bien en accord avec le groupe dont il va faire parti, ne fait pas une Doll avec des sentiments, ce serait illogique. On ne demande pas un minimum de ligne mais le mieux serait de développer à fond cette partie pour qu'on en sache le plus possible.</div></div></td> </td><td align="left"> <div style="margin:5px; font-size:10px; text-align:justify; background: #F9FAE1; padding:10px; border: #CFE625  solid  2px; -moz-border-radius: 10px; -webkit-border-radius: 10px; border-radius: 10px; box-shadow: 0px 0px 0px Black;"><div style="width:100%;height:220px;overflow:auto;">[color=#CFE625][b]Depuis combien de temps ton personnage est-il ici ?[/b][/color]
Hyun doit sans doute être là il y a de cela trois ans. Dès l'âge exigé et requis, on pouvait ainsi dire qu'il a rejoins Sainte-Croix et ce, dans l'immédiat.

[color=#CFE625][b]Quelle relation ton personnage entretient avec les élèves ?[/b][/color]
Généralement, tout le monde l'évite. Après tout, qui aimerait donc tuer le temps avec un dépressif comme lui ? D'ailleurs, quelques membres du club de journalisme prétendent même que c'est plutôt lui qui aurait besoin de consulter un bon psy. De grossière débilités ridiculement rédigées. Et dire qu'on abattait des forêts pour que des sots puissent assouvir leurs caprices ainsi que leurs lubies irréfléchies ! [i]Tss. Ç'en était presque pitoyable[/i]. Et pourtant, certaines filles gloussent sur son passage. D'autres font exprès d'enfreindre les prohibés imposés au sein de la pension pour simplement aller le voir, histoire de pouvoir le scruter durant l'heure d'entretien. Et, parfois, elles inventent elles-même des problèmes avec X ou Y, prétextant se sentir oppressées ou que sais-je encore. Ce ne sont que des balivernes, rien de plus. Malheureusement, de son côté, il ne perçoit pas les choses de la même manière. En effet, les élèves trop perturbés psychologiquement ou complètement excentriques, il leur parle, les écoute, et finit par leur dire : [b]casse-toi[/b]. Il comprend parfaitement l'influence qu'il exerce après de tous ces demoiselles mais il reste strictement professionnel, et ce, même s'il aborde alors un sourire narquois à chaque fois. Après tout, n'est-ce pas amusant de voir des gosses se démener pour un rien ? Surtout qu'ils étaient tous pareils. Oui, ils étaient tous apathiques et boulimiques à souhait. Sans exception. De vrais moutons.

[color=#CFE625][b]Quelle relation ton personnage entretient avec l'équipe de l'école ?[/b][/color]
Eh bien... S'il a du succès auprès des étudiants, on ne pouvait pas dire que ses collègues fassent de lui un individu courtois et sociable. Au contraire, le personnel trouve même que son air se fait un peu trop hautain et qu'il exècre trop de monde, pour simplement dire, tout le monde. Tous le trouvent trop ironique dans ses propos, même cruel. Effectivement, ses sourires ne sont que moqueurs, ses gestes d'affections n'en sont même pas un et ne parlons même pas de l'attention dérisoire qu'il porte à son entourage ; ce mec est un gros connard, ni plus, ni moins. 

[color=#CFE625][b]Le métier que ton personnage exerce lui plait-il ? Pourquoi ?[/b][/color]
Il hait ce métier mais a su y prendre du plaisir en se moquant d'autrui. Toutes ces personnes possédant des problèmes ne sont que des imbéciles qui caressent sa vie et s'en vont, fugaces, tel une brise. Malheureusement pour eux, tous leurs secrets, leurs hontes ou encore leurs plus grandes peurs : il les connaît tous. Cependant, le secret professionnel l'interdit d'exhiber quoi que ce soit. Seulement, qui avait donc dit qu'il était un de ces pions ?

[color=#CFE625][b]Que pense ton personnage de ce projet ?[/b][/color]
Stupide. Utopiste. Inconcevable... En fait, il s'en fout. S'il a voulu y prendre part, il serait ridicule de trouver cette idée complètement monstrueuse. Soyons cohérents, pas schizophrènes. 
</div></div></td></td></tr></table>

[center]<img src="http://www.pixenli.com/images/1365/1365368611056135700.png" border="0" alt="" />[/center]<div style="margin:5px; font-size:10px; text-align:justify;  background: #F9FAE1; padding:5px; border: #CFE625  solid  2px; -moz-border-radius: 10px; -webkit-border-radius: 10px; border-radius: 10px; box-shadow: 0px 0px 0px Black;"><div style="width:100%;height:140px;overflow:auto;">▬ [b]24 ans [/b]: J'ai toujours trouvé le monde injuste. Mais eux ce sont les pires : les enfants, âmes corrompus ; je ne les ai jamais trouvé innocentes et pures, comme le disaient certains. Pourtant, tout le monde les aiment.

▬ [b]10 ans [/b]: Les enfants sont cruels, mais parce qu’ils sont petits, on leur pardonne. Et moi ? Je suis petit aussi. Mais moi, on m’abandonne. Un jour, je serais grand, et je leur montrerai. Pour l’instant j’endure mais la roue finit toujours par tourner, je le sais, j'en suis sûr. Je changerais. Il le faut. Un jour, ils verront. Ils verront, eux, ceux que je hais, ceux que je déteste. Oui, tous. Et moi, je ne pardonnerais pas. Jamais. Je ne suis pas niais. Je le sais, je le sens, que tous les jours, ils se moquent de moi. Ils m’insultent, ils m’humilient. Et sans rien dire, je supporte. Ça les fait bien rire, et à moi aussi. Si jeunes, mais déjà bourreaux, se délectant de la souffrance des autres. Et surtout de la mienne. Mais un jour, je serai fort. Un jour, je serai beau. Un jour, ils m’aimeront. Oui, un jour, tout changera. Et ça sera trop tard. Pour l'instant, j'attends mon heure. Et j’observe. Quoi donc ? La bêtise humaine, entretenant ma haine. On m'a dit que c'était la jungle dehors. On m'a dit que soit tu es faible, soit tu es fort, que soit tu gagnes, soit tu perds. Mais je sais que tout cela est éphémère. Aujourd'hui, ils sont stars de la cour de récré, playboys des bacs à sable, mais demain sera un autre jour. Tous, ils oublient que le temps passe, et qu'à un lendemain, ils ne seront [b]personne. [/b]

▬ [b]16 ans [/b]: Le temps est passé, les choses ont changé. Je suis fort et beau. Ils m’aiment, ils m’admirent, ils me jalousent, ils me respectent. Mais moi je les méprise, tous. Visiblement, ils ont la mémoire bien courte. Moi pas, dommage. En effet, je n’ai pas oublié l'enfer de mes 10 ans ; je n’ai pas pardonné leur cruauté. Tout ce que je sais, c'est que jamais je ne les aimerais. Cependant, en me voyant seul, toujours, on me dit de laisser tomber, de me familiariser. C'est trop dur ; je dois vivre avec mes blessures, cela me permet de ne pas devenir complètement fou. Mais personne ne le comprend. Au lycée, dans les rues, tout le temps, on me trouve inaccessible. Sont-ils donc tous débiles ? C'est faux, je me protège juste d'eux. Eux, les créatures versatiles à la suite du plus fort. Cependant, aujourd'hui, le plus fort, c’est moi mais je n’en profite même pas ; je me contente de vivre dans ma bulle, loin de la médiocrité du monde. Parfois, je vois des enfants, ils se mettent à tous contre un. Et celui qui reste seul a quelque chose dans le regard, comme une volonté de grandir, vite, plus vite que les autres. Je ne bronche jamais, les regardant toujours. Ce gosse deviendra un bouc-émissaire, comme moi, comme d'autres avant lui, et comme d'autres après lui. Finalement, le monde était bien fait. Ou peut-être pas. Il y a aussi eux, ceux que je hais aussi bien que j'adore. Ceux qui m'ont gâché la vie, ceux qui m'ont déçu... Ceux qui m'ont détruit. 

[i]C'était mes parents mais c'était aussi mon pire cauchemar.[/i]
[b]Maman. [/b]Ton plus grand rêve était la liberté ; c'est pour ça que tu aimais tant les avions, voler dans le ciel comme un oiseau... Être libre. Et moi, peut-être que j’entravais cette liberté. Alors, pourquoi m’as-tu fait venir au monde ? Tu ne venais jamais me voir. Je me pose tellement de questions auxquelles tu n'en as rien a fiche. M’as-tu seulement aimé un jour, une heure, une minute ? Ou n’étais-je qu’une entrave à tes projets ?[b] Et toi, papa[/b]. Ton plus grand rêve était de briller ; c'est pour ça que tu es devenu pilote. Un métier qui impressionne, une belle carrière : la réussite. Moi je ne souhaitais qu’une chose : qu'un jour tu te souviennes que j’existe et que tu sois fier de moi. Que tu me regarde avec les yeux d’un père au lieu de préférer tes maudits avions. À cause de cela, je n’ai peur que d’une chose, moi, le grand insensible, le cœur de pierre, l'homme infléchi : les avions. Je n’y ai jamais mis les pieds pourtant, mais ils sont la cause de votre absence, parce que vous les aimiez plus que moi. Pendant que vous profitiez du ciel, moi j’étais seul. Tous les jours j’attendais. Un coup de fil, une lettre et peut-être même une visite... Je crois bien que c’est ce que je désirais le plus au monde. Je m'en fichais des cadeaux, je m'en fichais de l'argent. Tout ce que je voulais, tout ce que je désirais, mon seul souhait, mon seul voeux : [b]c'était de ne plus jamais être seul[/b] le jour de mon anniversaire, le jour de Noël... Ou tout simplement, tous les jours. J’ai tellement attendu que vous passiez cette maudite porte ! Putain de merde, ce que je voulais vous voir, tous les deux ! Savez-vous combien de nuits j'ai dû veiller, dans l'espoir de ne jamais vous rater si vous passiez ? J'avais beau prié, ce n'est jamais arrivé. Vous m’avez simplement abandonné. Et le jour où j’ai reçu cette lettre d’émancipation, j’ai perdu mes dernières illusions. J’ai compris que jamais je ne vous reverrais. Pourtant, je ne demandais pas la lune. Mon seul désir était de me sentir aimé, que vous soyez là pour moi comme des parents pour leur fils. Était-ce trop demander ? Si vous saviez comme je vous en veux. 

▬ [b]19 ans [/b]: Et le temps passe, et la tristesse n’a pas diminué. Je vous en veux tellement. Au fond,  je n’étais qu’une charge pour vous et vous m’avez condamné à ma solitude. Je n’ai pourtant pas demandé à naitre. Alors... Pourquoi est-ce à moi de payer pour vos erreurs ? Parce que j’en suis forcément une, sinon vous ne seriez pas parti. Pourquoi c’est toujours aux enfants de payer pour les grands ? C’est trop facile. J'étais une étoile invisible. La petite étoile qui s’éteint et qui, petit à petit, voit sa lumière lumière décliner. De plus en plus, comme elle, je me noyais dans le chagrin. Parce qu’en moi, plus rien ne s’illuminait. J'ai toujours eu de la peine parce que vous ne me voyez pas, mais mon amour me freine, alors je ne vous disais rien. Pourtant, j'hurlais à l’intérieur. Je criais, sans cesse, je clamais : [b]Je suis là, regardez-moi ! [/b]Mais vous restiez toujours dans les cieux, inaccessibles, laissant les abysses m'engloutirent. Et chaque jour se brisait mon cœur, parce que vous ne m'entendiez pas. Parfois, j'essayais de vous parler. Mais aussitôt, je me désolais ; c'était la même chose à chaque fois : vous me coupiez la parole. Est-ce à cause de ma toute petite voix ? Est-ce parce que je voulais trop exister pour vous, que je n'arrivais pas à vous en vouloir quand vous me disiez que vous ne pouviez pas me parler ? Chaque fois, chaque jour, la petite étoile que j'étais se noyais. Comment avancer en souriant? Trop difficile, j'étais constamment délaissé et je me sentais chaque jour un peu plus fragile. J'ai essayé, vraiment, à créer des souvenirs avec vous. J'avais commencé mes études, j'ai eu mon brevet, mon bac, j'ai travaillé, encore et encore. Pour tenter de m'exprimer autrement, de vous plaire autrement. Mais une nouvelle fois, vous m'aviez ignoré. Haha, c'est con mais je me sentais de plus en plus minable... Et triste. Tellement triste. J'ai finis par me sentir coupable, tellement que je suis débile. Un pauvre con, vraiment. Mais malheureusement, [b]j'en venais à me demander pourquoi j'existais. [/b]Et c'est toujours le cas. Mais désormais, je ris. Je ris devant une vielle farce que m'a apprit le temps : la vie va et vient, elle donne et reprend, un bonheur pour un malheur. Et aujourd'hui, c’était votre tour d’en faire les frais.

▬ [b]20 ans [/b]: C'est cet avion si cher à vos yeux qui vous a conduit à votre perte. J'étais pourtant chez moi, à ne rien demander, dans mon coin, quand on m'a appelé. J'avais eu l'espoir d'un aveugle et l'espérance d'un sourd, comme si rien ne s'était passé : mais ce n'était pas vous. Encore. Cependant, on m'a demandé d'allumer ma télé. Quand j’ai entendu les informations, j’ai eu du mal à le croire. C’était pourtant vrai. Un crash, pas de survivants. C’est triste à dire, mais je crois que je n’ai même pas eu de peine. Parce qu’au fond, qu’est ce que ça change pour moi ? Je ne suis pas votre fils. Oh, de sang, peut-être. Mais pas de cœur ; vous n’êtes pas ma famille et vous ne l’avez jamais été. Désormais, j'espère encore. Quoi donc ? J’espère qu’au moins une fois dans votre vie, vous aurez eu des regrets. J’espère juste que je vous ai manqué quelque fois. Vous, vous m’avez manqué tous les jours de ma vie. Mais c’est terminé maintenant ; je ne serais plus jamais triste pour vous. Et si un jour je deviens père, je ferais tout pour qu’il ne grandisse pas comme moi. Je ferais tout pour qu’il ne soit pas seul... Et surtout, je ferais tout pour qu’il ne regrette pas d’être né. [b]Absolument tout. [/b]

▬ [b]21 ans [/b]: Je suis un adulte. Peut-être seul, qu'importe. Je suis un adulte. Je continue les études pour être aussi brillant que toi, Papa, mais jamais je ne négligerai ce qui compte pour moi. Jamais. Malheureusement, je n'ai pas votre argent, vous qui m'avez renié de votre testament. Je suis donc seul au monde, face à la pauvreté, comme toujours. J'aurai vraiment aimé être choyé, être comme X ou Y, être quelqu'un d'autre. Mais ce n'est pas le cas. Alors, j'essaye de travailler pour réussir mes études, pour devenir quelqu'un d'aussi important que vous. J'enchaîne boulot sur boulot, tous aussi ridicules les uns que les autres. Je n'ai jamais le temps de dormir, toujours dans mes révisions, dans mon taff : mon âme se voue entièrement aux études. Cependant, j'ai été renvoyé hier. Alors, aujourd'hui, j'ai essayé de trouver un autre travail, sans me casser encore plus la tête afin de payer ce qui me reste d'années. Et demain, je serais là-bas, dans un autre monde mais toujours dans ma bulle. [i]Sainte-Croix, tu es grand ; fais de moi un homme beau.[/i] 

Aujourd'hui, qui suis-je ?
Je suis une étoile qui tout d’abord scintille, puis mon éclat se voile et c'est de gris que je m'habille. La lumière de cette constellation est tellement belle, tellement belle que de partout elle brille. Mais l’âme humaine est trop cruelle. Et doucement, la flamme vacille. Envahie par le désarroi, la petite étoile décline. Étouffée par trop d’indifférence, doucement elle s’incline et tire sa révérence. Emportée par son chagrin, une petite étoile s’éteint. Je suis cette petite étoile déchue, reniée par les siens, exilée du ciel et condamnée à vivre seule. [b]Si seulement j'avais pu vous manquer. Vous, je vous le redis, vous m'avez manqué tous les jours, à chaque instant de ma vie. [/b]Encore une fois, je rigole devant mes paroles. Et puis, quelle ironie. Je crois que je ne vous aurais jamais autant parlé qu’aujourd’hui, devant votre tombe. Il a fallu que vous quittiez ce monde pour que je puisse vous voir. Soit, je vous laisse, je ne reviendrais pas. Une nouvelle vie m'attend, sans vous, encore une fois. Mais cette fois-ci, je n'aurais aucun espoir et aucun regret à avancer. 


[i]Je vous le dis une dernière fois, 
Un message d'adieu, 
Neuf petits mots,
Trente et une lettres :
[b]Je vous hais. 
Je vous aime.
Rest in peace[/b]. [/i]</div></div>

[center]<img src="http://www.pixenli.com/images/1365/1365368836025015900.png" border="0" alt="" />[/center]

[b]C'est quoi ton nom ?[/b] Dyeu, mais on me nomme aussi Nell. 
[b]Tu peux nous dire ton âge ?[/b] Le même âge que ta mère quand elle avait mon âge.
[b]Comment t'as connu le forum ?[/b] C'est l'autre [url=http://undisclosed-desires.forumactif.org/u6]courge[/url] qui me l'a fait connaître, patate. 
[b] T'as lu le règlement ?[/b] Va mourir. J'ai faim. 
[b]T'aimes les grenouilles ?[/b] PATATE.
[b]Autre chose mon chou ?[/b] PATATE.


</div>
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MessageSujet: Re: Fiche de Nell ♥   Fiche de Nell ♥ EmptySam 4 Mai - 14:42

Fiche K. Hyun Jun (de Nell *-*) :: 

[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
Nom : Jun.
Prénom : Kyun Hyun. 
Âge : Vingt-quatre ans. 
 Date d'anniversaire : Trente juillet. 
Origine : Corée du sud - Séoul. 
Sexe & Orientation: Masculin ▬ Hétérosexuel.

Poste : Psychologue. 
Groupe : School staff. 

[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
Décris ici tout ce qui concerne la mentalité, la personnalité de ton personnage. Attention, reste bien en accord avec le groupe dont il va faire parti, ne fait pas une Doll avec des sentiments, ce serait illogique. On ne demande pas un minimum de ligne mais le mieux serait de développer à fond cette partie pour qu'on en sache le plus possible.
Depuis combien de temps ton personnage est-il ici ?
Hyun doit sans doute être là il y a de cela trois ans. Dès l'âge exigé et requis, on pouvait ainsi dire qu'il a rejoins Sainte-Croix et ce, dans l'immédiat.

Quelle relation ton personnage entretient avec les élèves ?
Généralement, tout le monde l'évite. Après tout, qui aimerait donc tuer le temps avec un dépressif comme lui ? D'ailleurs, quelques membres du club de journalisme prétendent même que c'est plutôt lui qui aurait besoin de consulter un bon psy. De grossière débilités ridiculement rédigées. Et dire qu'on abattait des forêts pour que des sots puissent assouvir leurs caprices ainsi que leurs lubies irréfléchies ! Tss. Ç'en était presque pitoyable. Et pourtant, certaines filles gloussent sur son passage. D'autres font exprès d'enfreindre les prohibés imposés au sein de la pension pour simplement aller le voir, histoire de pouvoir le scruter durant l'heure d'entretien. Et, parfois, elles inventent elles-même des problèmes avec X ou Y, prétextant se sentir oppressées ou que sais-je encore. Ce ne sont que des balivernes, rien de plus. Malheureusement, de son côté, il ne perçoit pas les choses de la même manière. En effet, les élèves trop perturbés psychologiquement ou complètement excentriques, il leur parle, les écoute, et finit par leur dire : casse-toi. Il comprend parfaitement l'influence qu'il exerce après de tous ces demoiselles mais il reste strictement professionnel, et ce, même s'il aborde alors un sourire narquois à chaque fois. Après tout, n'est-ce pas amusant de voir des gosses se démener pour un rien ? Surtout qu'ils étaient tous pareils. Oui, ils étaient tous apathiques et boulimiques à souhait. Sans exception. De vrais moutons.

Quelle relation ton personnage entretient avec l'équipe de l'école ?
Eh bien... S'il a du succès auprès des étudiants, on ne pouvait pas dire que ses collègues fassent de lui un individu courtois et sociable. Au contraire, le personnel trouve même que son air se fait un peu trop hautain et qu'il exècre trop de monde, pour simplement dire, tout le monde. Tous le trouvent trop ironique dans ses propos, même cruel. Effectivement, ses sourires ne sont que moqueurs, ses gestes d'affections n'en sont même pas un et ne parlons même pas de l'attention dérisoire qu'il porte à son entourage ; ce mec est un gros connard, ni plus, ni moins. 

Le métier que ton personnage exerce lui plait-il ? Pourquoi ?
Il hait ce métier mais a su y prendre du plaisir en se moquant d'autrui. Toutes ces personnes possédant des problèmes ne sont que des imbéciles qui caressent sa vie et s'en vont, fugaces, tel une brise. Malheureusement pour eux, tous leurs secrets, leurs hontes ou encore leurs plus grandes peurs : il les connaît tous. Cependant, le secret professionnel l'interdit d'exhiber quoi que ce soit. Seulement, qui avait donc dit qu'il était un de ces pions ?

Que pense ton personnage de ce projet ?
Stupide. Utopiste. Inconcevable... En fait, il s'en fout. S'il a voulu y prendre part, il serait ridicule de trouver cette idée complètement monstrueuse. Soyons cohérents, pas schizophrènes. 

[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
24 ans : J'ai toujours trouvé le monde injuste. Mais eux ce sont les pires : les enfants, âmes corrompus ; je ne les ai jamais trouvé innocentes et pures, comme le disaient certains. Pourtant, tout le monde les aiment.

10 ans : Les enfants sont cruels, mais parce qu’ils sont petits, on leur pardonne. Et moi ? Je suis petit aussi. Mais moi, on m’abandonne. Un jour, je serais grand, et je leur montrerai. Pour l’instant j’endure mais la roue finit toujours par tourner, je le sais, j'en suis sûr. Je changerais. Il le faut. Un jour, ils verront. Ils verront, eux, ceux que je hais, ceux que je déteste. Oui, tous. Et moi, je ne pardonnerais pas. Jamais. Je ne suis pas niais. Je le sais, je le sens, que tous les jours, ils se moquent de moi. Ils m’insultent, ils m’humilient. Et sans rien dire, je supporte. Ça les fait bien rire, et à moi aussi. Si jeunes, mais déjà bourreaux, se délectant de la souffrance des autres. Et surtout de la mienne. Mais un jour, je serai fort. Un jour, je serai beau. Un jour, ils m’aimeront. Oui, un jour, tout changera. Et ça sera trop tard. Pour l'instant, j'attends mon heure. Et j’observe. Quoi donc ? La bêtise humaine, entretenant ma haine. On m'a dit que c'était la jungle dehors. On m'a dit que soit tu es faible, soit tu es fort, que soit tu gagnes, soit tu perds. Mais je sais que tout cela est éphémère. Aujourd'hui, ils sont stars de la cour de récré, playboys des bacs à sable, mais demain sera un autre jour. Tous, ils oublient que le temps passe, et qu'à un autre lendemain, ils ne seront plus personne.

16 ans : Le temps est passé, les choses ont changé. Je suis fort et beau. Ils m’aiment, ils m’admirent, ils me jalousent, ils me respectent. Mais moi je les méprise, tous. Visiblement, ils ont la mémoire bien courte. Moi pas, dommage. En effet, je n’ai pas oublié l'enfer de mes 10 ans ; je n’ai pas pardonné leur cruauté. Tout ce que je sais, c'est que jamais je ne les aimerais. Cependant, en me voyant seul, toujours, on me dit de laisser tomber, de me familiariser. C'est trop dur ; je dois vivre avec mes blessures, cela me permet de ne pas devenir complètement fou. Mais personne ne le comprend. Au lycée, dans les rues, tout le temps, on me trouve inaccessible. Sont-ils donc tous débiles ? C'est faux, je me protège juste d'eux. Eux, les créatures versatiles à la suite du plus fort. Cependant, aujourd'hui, le plus fort, c’est moi mais je n’en profite même pas ; je me contente de vivre dans ma bulle, loin de la médiocrité du monde. Parfois, je vois des enfants, ils se mettent à tous contre un. Et celui qui reste seul a quelque chose dans le regard, comme une volonté de grandir, vite, plus vite que les autres. Je ne bronche jamais, les regardant toujours. Ce gosse deviendra un bouc-émissaire, comme moi, comme d'autres avant lui, et comme d'autres après lui. Finalement, le monde était bien fait. Ou peut-être pas. Il y a aussi eux, ceux que je hais aussi bien que j'adore. Ceux qui m'ont gâché la vie, ceux qui m'ont déçu... Ceux qui m'ont détruit. 

C'était mes parents mais c'était aussi mon pire cauchemar.
Maman. Ton plus grand rêve était la liberté ; c'est pour ça que tu aimais tant les avions, voler dans le ciel comme un oiseau... Être libre. Et moi, peut-être que j’entravais cette liberté. Alors, pourquoi m’as-tu fait venir au monde ? Tu ne venais jamais me voir. Je me pose tellement de questions auxquelles tu n'en as rien a fiche. M’as-tu seulement aimé un jour, une heure, une minute ? Ou n’étais-je qu’une entrave à tes projets ? Et toi, papa. Ton plus grand rêve était de briller ; c'est pour ça que tu es devenu pilote. Un métier qui impressionne, une belle carrière : la réussite. Moi je ne souhaitais qu’une chose : qu'un jour tu te souviennes que j’existe et que tu sois fier de moi. Que tu me regarde avec les yeux d’un père au lieu de préférer tes maudits avions. À cause de cela, je n’ai peur que d’une chose, moi, le grand insensible, le cœur de pierre, l'homme infléchi : les avions. Je n’y ai jamais mis les pieds pourtant, mais ils sont la cause de votre absence, parce que vous les aimiez plus que moi. Pendant que vous profitiez du ciel, moi j’étais seul. Tous les jours j’attendais. Un coup de fil, une lettre et peut-être même une visite... Je crois bien que c’est ce que je désirais le plus au monde. Je m'en fichais des cadeaux, je m'en fichais de l'argent. Tout ce que je voulais, tout ce que je désirais, mon seul souhait, mon seul voeux : c'était de ne plus jamais être seul le jour de mon anniversaire, le jour de Noël... Ou tout simplement, tous les jours. J’ai tellement attendu que vous passiez cette maudite porte ! Putain de merde, ce que je voulais vous voir, tous les deux ! Savez-vous combien de nuits j'ai dû veiller, dans l'espoir de ne jamais vous rater si vous passiez ? J'avais beau prié, ce n'est jamais arrivé. Vous m’avez simplement abandonné. Et le jour où j’ai reçu cette lettre d’émancipation, j’ai perdu mes dernières illusions. J’ai compris que jamais je ne vous reverrais. Pourtant, je ne demandais pas la lune. Mon seul désir était de me sentir aimé, que vous soyez là pour moi comme des parents pour leur fils. Était-ce trop demander ? Si vous saviez comme je vous en veux. 

19 ans : Et le temps passe, et la tristesse n’a pas diminué. Je vous en veux tellement. Au fond,  je n’étais qu’une charge pour vous et vous m’avez condamné à ma solitude. Je n’ai pourtant pas demandé à naitre. Alors... Pourquoi est-ce à moi de payer pour vos erreurs ? Parce que j’en suis forcément une, sinon vous ne seriez pas parti. Pourquoi c’est toujours aux enfants de payer pour les grands ? C’est trop facile. J'étais une étoile invisible. La petite étoile qui s’éteint et qui, petit à petit, voit sa lumière lumière décliner. De plus en plus, comme elle, je me noyais dans le chagrin. Parce qu’en moi, plus rien ne s’illuminait. J'ai toujours eu de la peine parce que vous ne me voyez pas, mais mon amour me freine, alors je ne vous disais rien. Pourtant, j'hurlais à l’intérieur. Je criais, sans cesse, je clamais : Je suis là, regardez-moi ! Mais vous restiez toujours dans les cieux, inaccessibles, laissant les abysses m'engloutirent. Et chaque jour se brisait mon cœur, parce que vous ne m'entendiez pas. Parfois, j'essayais de vous parler. Mais aussitôt, je me désolais ; c'était la même chose à chaque fois : vous me coupiez la parole. Est-ce à cause de ma toute petite voix ? Est-ce parce que je voulais trop exister pour vous, que je n'arrivais pas à vous en vouloir quand vous me disiez que vous ne pouviez pas me parler ? Chaque fois, chaque jour, la petite étoile que j'étais se noyais. Comment avancer en souriant ? Trop difficile, j'étais constamment délaissé et je me sentais chaque jour un peu plus fragile. J'ai essayé, vraiment, à créer des souvenirs avec vous. J'avais commencé mes études, j'ai eu mon brevet, mon bac, j'ai travaillé, encore et encore. Pour tenter de m'exprimer autrement, de vous plaire autrement. Mais une nouvelle fois, vous m'aviez ignoré. Haha, c'est con mais je me sentais de plus en plus minable... Et triste. Tellement triste. J'ai finis par me sentir coupable, tellement que je suis débile. Un pauvre con, vraiment. Mais malheureusement, j'en venais à me demander pourquoi j'existais. Et c'est toujours le cas. Mais désormais, je ris. Je ris devant une vielle farce que m'a apprit le temps : la vie va et vient, elle donne et reprend, un bonheur pour un malheur. Et aujourd'hui, c’était votre tour d’en faire les frais.

20 ans : C'est cet avion si cher à vos yeux qui vous a conduit à votre perte. J'étais pourtant chez moi, à ne rien demander, dans mon coin, quand on m'a appelé. J'avais eu l'espoir d'un aveugle et l'espérance d'un sourd, comme si rien ne s'était passé : mais ce n'était pas vous. Encore. Cependant, on m'a demandé d'allumer ma télé. Quand j’ai entendu les informations, j’ai eu du mal à le croire. C’était pourtant vrai. Un crash, pas de survivants. C’est triste à dire, mais je crois que je n’ai même pas eu de peine. Parce qu’au fond, qu’est ce que ça change pour moi ? Je ne suis pas votre fils. Oh, de sang, peut-être. Mais pas de cœur ; vous n’êtes pas ma famille et vous ne l’avez jamais été. Désormais, j'espère encore. Quoi donc ? J’espère qu’au moins une fois dans votre vie, vous aurez eu des regrets. J’espère juste que je vous ai manqué quelque fois. Vous, vous m’avez manqué tous les jours de ma vie. Mais c’est terminé maintenant ; je ne serais plus jamais triste pour vous. Et si un jour je deviens père, je ferais tout pour qu’il ne grandisse pas comme moi. Je ferais tout pour qu’il ne soit pas seul... Et surtout, je ferais tout pour qu’il ne regrette pas d’être né. Absolument tout.

21 ans : Je suis un adulte. Peut-être seul, qu'importe. Je suis un adulte. Je continue les études pour être aussi brillant que toi, Papa, mais jamais je ne négligerai ce qui compte pour moi. Jamais. Malheureusement, je n'ai pas votre argent, vous qui m'avez renié de votre testament. Je suis donc seul au monde, face à la pauvreté, comme toujours. J'aurai vraiment aimé être choyé, être comme X ou Y, être quelqu'un d'autre. Mais ce n'est pas le cas. Alors, j'essaye de travailler pour réussir mes études, pour devenir quelqu'un d'aussi important que vous. J'enchaîne boulot sur boulot, tous aussi ridicules les uns que les autres. Je n'ai jamais le temps de dormir, toujours dans mes révisions, dans mon taff : mon âme se voue entièrement aux études. Cependant, j'ai été renvoyé hier. Alors, aujourd'hui, j'ai essayé de trouver un autre travail, sans me casser encore plus la tête afin de payer ce qui me reste d'années. Et demain, je serais là-bas, dans un autre monde mais toujours dans ma bulle. Sainte-Croix, tu es grand ; fais de moi un homme beau. 

Aujourd'hui, qui suis-je ?
Je suis une étoile qui tout d’abord scintille, puis mon éclat se voile et c'est de gris que je m'habille. La lumière de cette constellation est tellement belle, tellement belle que de partout elle brille. Mais l’âme humaine est trop cruelle. Et doucement, la flamme vacille. Envahie par le désarroi, la petite étoile décline. Étouffée par trop d’indifférence, doucement elle s’incline et tire sa révérence. Emportée par son chagrin, une petite étoile s’éteint. Je suis cette petite étoile déchue, reniée par les siens, exilée du ciel et condamnée à vivre seule. Si seulement j'avais pu vous manquer. Vous, je vous le redis, vous m'avez manqué tous les jours, à chaque instant de ma vie. Encore une fois, je rigole devant mes paroles. Et puis, quelle ironie. Je crois que je ne vous aurais jamais autant parlé qu’aujourd’hui, devant votre tombe. Il a fallu que vous quittiez ce monde pour que je puisse vous voir. Soit, je vous laisse, je ne reviendrais pas. Une nouvelle vie m'attend, sans vous, encore une fois. Mais cette fois-ci, je n'aurais aucun espoir et aucun regret à avancer. 


Je vous le dis une dernière fois, 
Un message d'adieu, 
Neuf petits mots,
Trente et une lettres :
Je vous hais. 
Je vous aime.
Rest in peace
.


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C'est quoi ton nom ? Dyeu, mais on me nomme aussi Nell. 
Tu peux nous dire ton âge ? Le même âge que ta mère quand elle avait mon âge.
Comment t'as connu le forum ? C'est l'autre [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] qui me l'a fait connaître, patate. 
T'as lu le règlement ? Va mourir. J'ai faim. 
T'aimes les grenouilles ? PATATE.
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MessageSujet: Re: Fiche de Nell ♥   Fiche de Nell ♥ EmptySam 4 Mai - 16:03

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Nom : écrire ici
Prénom(s) : écrire ici
Âge : écrire ici
Date d'anniversaire : seulement le jour et le mois
Origine : le lieu de naissance d'origine de ton personnage
Sexe & Orientation: Masculin ou Féminin / Hétero, Bi ou Homo ?
Année d'étude : seulement pour les élèves, son année
Poste : seulement pour le school staff, quel poste occupe ton personnage (professeur, surveillant, prêtre etc)
Groupe : hackers, dreamers, school staff ou citizen ?
Métier : seulement pour les citizens, quel métier il exerce

[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
Décris ici tout ce qui concerne la mentalité, la personnalité de ton personnage. Attention, reste bien en accord avec le groupe dont il va faire parti, ne fait pas une Doll avec des sentiments, ce serait illogique. On ne demande pas un minimum de ligne mais le mieux serait de développer à fond cette partie pour qu'on en sache le plus possible.
Ce petit questionnaire est à remplir selon un point de vue omniscient. C'est à dire que ce n'est pas au personnage de répondre mais à vous, car ce sont des informations importantes. Certaines questions ne vous correspondront, supprimez-les !

Depuis combien de temps ton personnage est-il ici ?
Pour tout personnage. Si étudiant ou prof à la Sainte-Croix, précisez à quel âge il est entré ici. Si Citizens, dîtes s'il est un être virtuel créé pour l'univers, donc qu'il vit ici depuis sa création, ou alors s'il est arrivé à Sol Falena à partir d'un certain âge.

Quelle relation ton personnage entretient avec les élèves ?
Pour School Staff, Hackers, Dreamers et Dolls. Dîtes comment est-il perçu par les autres, s'il est populaire ou non.

Quelle relation ton personnage entretient avec l'équipe de l'école ?
Pour School Staff, Hackers, Dreamers et Dolls. Dîtes comment est-il perçu par les professeurs et les membres du personnel.

Le métier que ton personnage exerce lui plait-il ? Pourquoi ?
Pour Citizens & School Staff.

Quelle est le niveau d'étude de ton personnage ?
Pour Hackers, Dreamers & Dolls. En gros, s'il a des bons résultats ou non.

Quel est le statut social de ton personnage ?
Pour Citizens. Riche, pauvre, modeste ?

Que pense ton personnage de ce projet ?
Pour School staff.

En quoi votre personnage a-t-il été un délinquant
Pour les Dolls et les Dreamers.

[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
L'histoire de ton personnage est facultative ! Tu n'es absolument pas obligé d'en faire une et ignorer cette partie. Bien entendu, si tu as envie de la rédiger, n'hésites pas. Mais n'oublie pas que si tu fais un Dreamers, il ne se souviendra plus de tout ça.
Rédiger une partie de l'histoire est cependant conseillé pour les citizens et le school staff !


[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]

C'est quoi ton nom ?
Tu peux nous dire ton âge ?
T'as lu le règlement ?
Comment t'as connu le forum ?
T'aimes les grenouilles ?
Autre chose mon chou ?


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MessageSujet: Re: Fiche de Nell ♥   Fiche de Nell ♥ EmptySam 4 Mai - 16:03

Fiche K. Hyun Jun (de Nell *-*) :: 

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Nom : Jun.
Prénom : Kyun Hyun. 
Âge : Vingt-quatre ans. 
 Date d'anniversaire : Trente juillet. 
Origine : Corée du sud - Séoul. 
Sexe & Orientation: Masculin ▬ Hétérosexuel.

Poste : Psychologue. 
Groupe : School staff. 

[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
« Désagréable, vulgaire et chiant. Faites-le dégager d'ici, bon sang. »

Quand on dit Mr. Jun, on pense tout de suite à ce mystérieux brun quelque peu distant, presque insociable, avec nous. Quand on aborde le sujet de sa carrière, on se dit tout de suite qu'on aimerait aussi faire semblant d'être fous pour avoir l'exclusivité de pouvoir profiter des bienfaits de sa présence, si bienfaits il y en avait. En effet, tu n'as jamais aimé l'Humain dans toute sa médiocrité : il te fait trop pitié. Tous ces individus sans but, sans personnalité, sans originalité, sans problèmes, sans maux et sans malheurs : tu les exècre tous. Tu ne te sens pas au-dessus d'eux, ni supérieur, c'est eux qui ont cette impression quand tu converses avec. Sont-ils donc si débiles, de propager inutilement des propos sans preuves, alors que c'est leur propre personne qui a dévoilé de telles inepties ? Ils semblent tous oublier que ces meurs ne sortent que de leur bouche et certainement pas de la tienne, même si tu ne démentis pas ces rumeurs qui caressent les pensées de certains. Après tout, à bon entendeur, tu n'es guère sot pour te faire valoir une image de l'homme idéal :  modèle d'espoirs anéantis en vain et de surcroit complètement absurde. Malgré tout, personne ne se décidait à te fuir comme si, à la simple vue de ta silhouette, la zone où tes pieds frôlaient le sol était infectée et condamnée. Chaque jour, il fallait donc qu'il y est un de ces gosses qui viennent te dévoiler ses songes les plus intimes, comme si ton bureau était devenu l'Abbé-Pierre, sans messes, cependant. En fait, tu te considérais un peu comme Dyeu, quand on venait se confesser sur ton sofa. Parfois, on te demandait des services : mais ce qu'ils ne comprenaient toujours pas, c'était que tu avais beau être un petit salaud, tu n'étais pas non plus soumis à une hiérarchie qui t'était supérieur. Donc, la plupart du temps, tu ne leur lançais que de vulgaires grossièretés à base de mots décousus. Car oui, tu avais beau être peu bavard, les seules paroles que tu sortais étaient toutes sèches ou cassantes, presque humiliantes. D'ailleurs, de ce fait, la plupart du temps, tu ne préférais pas répondre à des questions futiles, comme un bonjour sans lendemain ou encore, un : comment ça va ? inutile à en juger par ta mine indifférente qui reflétait pourtant bel et bien le fond de ta pensée. 


« Euh... Ils vont bien ses chevilles ? Non mais sérieusement, faudrait vérifier ça, hein. »

Tu possèdes le pêché de l'orgueil qui coule dans tes veines, atteignant même ton cerveau... Qui peut alors expliquer le pourquoi du comment la naissance de ta folie. Est-ce dû à un endommagement de tes cervicales neuromusculaires ? À moins de t'étudier ou de te disséquer en te maintenant en vie dans un glaçon, il est techniquement impossible de le vérifier. Enfin, le besoin ne se fait, de toute manière, point sentir. En effet, ce qu'on remarque en prime chez toi, c'est ta réticence à l'égard de toute relation mais après, quand on te parle, quand tu nous parles, quand tu nous regardes : là, le doute n'est plus permis. Tu es un vantard et de la pire espèce, en plus... Orgueil, ton plus grand défaut. Par conséquent, tu ne veux céder. Et, imperceptiblement, la tension s’installe, le ton monte et les étincelles menacent, surtout quand un autre narcissique s'époumone à vouloir discuter avec toi. La suspicion prend alors place et chaque geste est matière à polémiquer, chaque mot, chaque regard, tout est analysé. Colère. Froide colère qui s’installe, malgré vous. Malgré tout. Et qui se montre bien plus destructrice que tout ce qu’on pouvait imaginer. Les mots fusent, blessants, poignants comme l'acier le plus dur. Les cris. Et les disputes. Chaque jour d’avantage il y en a. Et la rancœur inévitablement s’installe. Chaque pas en avant est un peu plus définitif et l’amertume éteint la flamme. Au fond, on sait bien comment tout ça finira. Mais ni toi, ni nous n’avons le courage de le dire. Au final, des liens, tu en veux bien. Seulement, comme un gosse, tu n'es pas capable de prendre soin des jouets qu'on te donne. Alors, des relations décrites comme plus haut, tu en vois la couleur tous les jours. Et elles, elles sont souvent détruites de la même manière. Toutes, sans exception.


« Le chat et la souris. »

Parlons désormais de tes défauts, chose que tu maîtrises à la perfection puisque tu sembles être aimé et à la fois détesté par ceux qui t'ont parlé, dans tes mauvais moments ou non. En effet, on pouvait confirmer que tu étais un vrai cas... Ou plutôt, un vrai pessimiste : toujours à l'afflux de propos négatives. De ce fait, les plus optimistes sortaient parfois complètement chamboulés de vos conversations Ô combien tenues au secret... Et on se demande alors en quoi tu as pu devenir psychologue : un métier censé aidé ceux qui sont dans le doute, normalement. Mais ça, tu t'en branles comme de l'an 44. Tu continues de flâner inlassablement, semblant pourtant toujours occupé. L'animal qui te définirait le mieux ? Un chat, sans doute. Indifférent au monde, flemmard, cruel, opportuniste. Oui, tu étais comme eux. Enfin, il était peut-être ridicule de te comparer à une sous-espèce aussi flegmatique mais l'image de ces bestioles semblaient parfaitement te correspondre... Un peu trop. Car oui,  nous le savons tous ; le chat est un animal libre, fier et orgueilleux et c'est justement pour cela qu'on pourrait te reconnaître dans les caractéristiques de ce félin. Oui, si tu n'as vraiment aucune volonté pour réaliser quelques choses, tu ne feras absolument rien et vis-versa. C'est simple dans ta  tête en fait ; soit tout, soit rien, mais il ne faut surtout pas que l'on croit que tu es quelqu'un de simplet. Non, toi, tu es un vrai type assez dur à connaître et qui est au premier abord, horripilant. C'est à peine si on pouvait échanger plus de vingt mots avec toi sans se faire envoyer balader... C'est pour dire. Et puis, cette manie que tu as de tout le temps scruter de travers les gens auxquels tu t'adresses : ton regard est si foudroyant et noir qu'on croirait que tu portes une haine irréversible envers nous ! Et ça, ça donne la chair de poule. Par ailleurs, je pourrais aussi constater que tu restes semblable à un loir. Tu t'endors partout et n'importe quand à des horaires invraisemblables, surtout lorsque tu t'ennuies ou ne t'intéresse pas à la discussion qui a lieu. Et, parlons du meilleur pour la fin : ce que tu détestes par dessus-tout ? Qu'on entrave ta période de « repos ». En fait, tu n'aimes tout simplement pas être déranger alors que tu vaques à ses occupations. 


« Je t'emmerde, Ducon. »

Dégage, tu me fais chier. 
Tu n'as que ces mots à la bouche et tu n'hésites pas à les balancer à quiconque et ce, même si on ne dit que ton nom. Effectivement, tu es vulgaire, ça, c'est su. Mais tu ne fais aussi aucun effort pour t'entendre avec les autres : un vrai ermite. Seul, dans ton coin, tu as cependant l'air de t'y plaire. Alors, certains essayeront de percer la carapace de ce cher homme énigmatique que tu es : complètement DÉBILE puisque tu n'as pas de masque ou quoi que ce soit. Tu es juste toi, un psychologue prisé mais totalement ironique. Pourtant, quelque fois, tu essayes d'être sympathique, presque charismatique : sans succès. Ton humeur exécrable reprend bien trop vite le dessus. Quand on chasse le naturel, il revient au galop. Toujours. 
Depuis combien de temps ton personnage est-il ici ?
Hyun doit sans doute être là il y a de cela trois ans. Dès l'âge exigé et requis, on pouvait ainsi dire qu'il a rejoins Sainte-Croix et ce, dans l'immédiat.

Quelle relation ton personnage entretient avec les élèves ?
Généralement, tout le monde l'évite. Après tout, qui aimerait donc tuer le temps avec un dépressif comme lui ? D'ailleurs, quelques membres du club de journalisme prétendent même que c'est plutôt lui qui aurait besoin de consulter un bon psy. De grossière débilités ridiculement rédigées. Et dire qu'on abattait des forêts pour que des sots puissent assouvir leurs caprices ainsi que leurs lubies irréfléchies ! Tss. Ç'en était presque pitoyable. Et pourtant, certaines filles gloussent sur son passage. D'autres font exprès d'enfreindre les prohibés imposés au sein de la pension pour simplement aller le voir, histoire de pouvoir le scruter durant l'heure d'entretien. Et, parfois, elles inventent elles-même des problèmes avec X ou Y, prétextant se sentir oppressées ou que sais-je encore. Ce ne sont que des balivernes, rien de plus. Malheureusement, de son côté, il ne perçoit pas les choses de la même manière. En effet, les élèves trop perturbés psychologiquement ou complètement excentriques, il leur parle, les écoute, et finit par leur dire : casse-toi. Il comprend parfaitement l'influence qu'il exerce après de tous ces demoiselles mais il reste strictement professionnel, et ce, même s'il aborde alors un sourire narquois à chaque fois. Après tout, n'est-ce pas amusant de voir des gosses se démener pour un rien ? Surtout qu'ils étaient tous pareils. Oui, ils étaient tous apathiques et boulimiques à souhait. Sans exception. De vrais moutons.

Quelle relation ton personnage entretient avec l'équipe de l'école ?
Eh bien... S'il a du succès auprès des étudiants, on ne pouvait pas dire que ses collègues fassent de lui un individu courtois et sociable. Au contraire, le personnel trouve même que son air se fait un peu trop hautain et qu'il exècre trop de monde, pour simplement dire, tout le monde. Tous le trouvent trop ironique dans ses propos, même cruel. Effectivement, ses sourires ne sont que moqueurs, ses gestes d'affections n'en sont même pas un et ne parlons même pas de l'attention dérisoire qu'il porte à son entourage ; ce mec est un gros connard, ni plus, ni moins. 

Le métier que ton personnage exerce lui plait-il ? Pourquoi ?
Il hait ce métier mais a su y prendre du plaisir en se moquant d'autrui. Toutes ces personnes possédant des problèmes ne sont que des imbéciles qui caressent sa vie et s'en vont, fugaces, tel une brise. Malheureusement pour eux, tous leurs secrets, leurs hontes ou encore leurs plus grandes peurs : il les connaît tous. Cependant, le secret professionnel l'interdit d'exhiber quoi que ce soit. Seulement, qui avait donc dit qu'il était un de ces pions ?

Que pense ton personnage de ce projet ?
Stupide. Utopiste. Inconcevable... En fait, il s'en fout. S'il a voulu y prendre part, il serait ridicule de trouver cette idée complètement monstrueuse. Soyons cohérents.

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24 ans : J'ai toujours trouvé le monde injuste. Mais eux ce sont les pires : les enfants, âmes corrompus ; je ne les ai jamais trouvé innocentes et pures, comme le disaient certains. Pourtant, tout le monde les aiment.

10 ans : Les enfants sont cruels, mais parce qu’ils sont petits, on leur pardonne. Et moi ? Je suis petit aussi. Mais moi, on m’abandonne. Un jour, je serais grand, et je leur montrerai. Pour l’instant j’endure mais la roue finit toujours par tourner, je le sais, j'en suis sûr. Je changerais. Il le faut. Un jour, ils verront. Ils verront, eux, ceux que je hais, ceux que je déteste. Oui, tous. Et moi, je ne pardonnerais pas. Jamais. Je ne suis pas niais. Je le sais, je le sens, que tous les jours, ils se moquent de moi. Ils m’insultent, ils m’humilient. Et sans rien dire, je supporte. Ça les fait bien rire, et à moi aussi. Si jeunes, mais déjà bourreaux, se délectant de la souffrance des autres. Et surtout de la mienne. Mais un jour, je serai fort. Un jour, je serai beau. Un jour, ils m’aimeront. Oui, un jour, tout changera. Et ça sera trop tard. Pour l'instant, j'attends mon heure. Et j’observe, entretenant ma haine. Quoi donc ? La bêtise humaine, songeant au futur. On m'a dit que c'était la jungle dehors. On m'a dit que soit tu es faible, soit tu es fort, que soit tu gagnes, soit tu perds. Mais je sais que tout cela est éphémère. Aujourd'hui, ils sont stars de la cour de récré, playboys des bacs à sable, mais demain sera un autre jour. Tous, ils oublient que le temps passe, et qu'à un autre lendemain, ils ne seront plus personne.

16 ans : Le temps est passé, les choses ont changé. Je suis fort et beau. Ils m’aiment, ils m’admirent, ils me jalousent, ils me respectent. Mais moi je les méprise, tous. Visiblement, ils ont la mémoire bien courte. Moi pas, dommage. En effet, je n’ai pas oublié l'enfer de mes 10 ans ; je n’ai pas pardonné leur cruauté. Tout ce que je sais, c'est que jamais je ne les aimerais. Cependant, en me voyant seul, toujours, on me dit de laisser tomber, de me familiariser. C'est trop dur ; je dois vivre avec mes blessures, cela me permet de ne pas devenir complètement fou. Mais personne ne le comprend. Au lycée, dans les rues, tout le temps, on me trouve inaccessible. Sont-ils donc tous débiles ? C'est faux, je me protège juste d'eux. Eux, les créatures versatiles à la suite du plus fort. Cependant, aujourd'hui, le plus fort, c’est moi mais je n’en profite même pas ; je me contente de vivre dans ma bulle, loin de la médiocrité du monde. Parfois, je vois des enfants, ils se mettent à tous contre un. Et celui qui reste seul a quelque chose dans le regard, comme une volonté de grandir, vite, plus vite que les autres. Je ne bronche jamais, les regardant toujours. Ce gosse est un bouc-émissaire, comme moi, comme d'autres avant lui, et comme probablement d'autres après lui. Finalement, le monde était bien fait. Ou peut-être pas. Il y a aussi eux, ceux que je hais aussi bien que j'adore. Ceux qui m'ont gâché la vie, ceux qui m'ont déçu... Ceux qui m'ont détruit, petit à petit.

C'était mes parents mais c'était aussi mon pire cauchemar.
Maman. Ton plus grand rêve était la liberté ; c'est pour ça que tu aimais tant les avions, voler dans le ciel comme un oiseau... Être libre. Et moi, peut-être que j’entravais cette liberté. Alors, pourquoi m’as-tu fait venir au monde ? Tu ne venais jamais me voir. Je me pose tellement de questions auxquelles tu n'en as rien a fiche. M’as-tu seulement aimé un jour, une heure, une minute ? Ou n’étais-je qu’une entrave à tes projets ? Et toi, papa. Ton plus grand rêve était de briller ; c'est pour ça que tu es devenu pilote. Un métier qui impressionne, une belle carrière : la réussite. Moi je ne souhaitais qu’une chose : qu'un jour tu te souviennes que j’existe et que tu sois fier de moi. Que tu me regarde avec les yeux d’un père au lieu de préférer tes maudits avions. À cause de cela, je n’ai peur que d’une chose, moi, le grand insensible, le cœur de pierre, l'homme infléchi : les avions. Je n’y ai jamais mis les pieds pourtant, mais ils sont la cause de votre absence, parce que vous les aimiez plus que moi. Pendant que vous profitiez du ciel, moi j’étais seul. Tous les jours j’attendais. Un coup de fil, une lettre et peut-être même une visite... Je crois bien que c’est ce que je désirais le plus au monde. Je m'en fichais des cadeaux, je m'en fichais de l'argent. Tout ce que je voulais, tout ce que je désirais, mon seul souhait, mon seul voeux : c'était de ne plus jamais être seul le jour de mon anniversaire, le jour de Noël... Ou tout simplement, tous les jours. J’ai tellement attendu que vous passiez cette maudite porte ! Putain de merde, ce que je voulais vous voir, tous les deux ! Savez-vous combien de nuits j'ai dû veiller, dans l'espoir de ne jamais vous rater si vous passiez ? J'avais beau prié, ce n'est jamais arrivé. Vous m’avez simplement abandonné. Et le jour où j’ai reçu cette lettre d’émancipation, j’ai perdu mes dernières illusions. J’ai compris que jamais je ne vous reverrais. Pourtant, je ne demandais pas la lune. Mon seul désir était de me sentir aimé, que vous soyez là pour moi comme des parents pour leur fils. Était-ce trop demander ? Si vous saviez comme je vous en veux. 

19 ans : Et le temps passe, et la tristesse n’a pas diminué. Je vous en veux tellement. Au fond,  je n’étais qu’une charge pour vous et vous m’avez condamné à ma solitude. Je n’ai pourtant pas demandé à naitre. Alors... Pourquoi est-ce à moi de payer pour vos erreurs ? Parce que j’en suis forcément une, sinon vous ne seriez pas partis. Pourquoi c’est toujours aux enfants de payer pour les grands ? C’est trop facile. J'étais une étoile invisible. La petite étoile qui s’éteint et qui, petit à petit, voit sa lumière lumière décliner. De plus en plus, comme elle, je me noyais dans le chagrin. Parce qu’en moi, plus rien ne s’illuminait. J'ai toujours eu de la peine parce que vous ne me voyez pas, mais mon amour me freine, alors je ne vous disais rien. Pourtant, j'hurlais à l’intérieur. Je criais, sans cesse, je clamais : Je suis là, regardez-moi ! Mais vous restiez toujours dans les cieux, inaccessibles, laissant les abysses m'engloutirent. Et chaque jour se brisait mon cœur, parce que vous ne m'entendiez pas. Parfois, j'essayais de vous parler. Mais aussitôt, je me désolais ; c'était la même chose à chaque fois : vous me coupiez la parole. Est-ce à cause de ma toute petite voix ? Est-ce parce que je voulais trop exister pour vous, que je n'arrivais pas à vous en vouloir quand vous me disiez que vous ne pouviez pas me parler ? Chaque fois, chaque jour, la petite étoile que j'étais se noyais. Comment avancer en souriant ? Trop difficile, j'étais constamment délaissé et je me sentais chaque jour un peu plus fragile. J'ai essayé, vraiment, à créer des souvenirs avec vous. J'avais commencé mes études, j'ai eu mon brevet, mon bac, j'ai travaillé, encore et encore. Pour tenter de m'exprimer autrement, de vous plaire autrement. Mais une nouvelle fois, vous m'aviez ignoré. Haha, c'est con mais je me sentais de plus en plus minable... Et triste. Tellement triste. J'ai finis par me sentir coupable, tellement que je suis débile. Un pauvre con, vraiment. Mais malheureusement, j'en venais à me demander pourquoi j'existais. Et c'est toujours le cas. Mais désormais, je ris. Je ris devant une vielle farce que m'a apprit le temps : la vie va et vient, elle donne et reprend, un bonheur pour un malheur. Et aujourd'hui, c’était votre tour d’en faire les frais.

20 ans : C'est cet avion si cher à vos yeux qui vous a conduit à votre perte. J'étais pourtant chez moi, à ne rien demander, dans mon coin, quand on m'a appelé. J'avais eu l'espoir d'un aveugle et l'espérance d'un sourd, comme si rien ne s'était passé : mais ce n'était pas vous. Encore. Cependant, on m'a demandé d'allumer ma télé. Quand j’ai entendu les informations, j’ai eu du mal à le croire. C’était pourtant vrai. Un crash, pas de survivants. C’est triste à dire, mais je crois que je n’ai même pas eu de peine. Parce qu’au fond, qu’est ce que ça change pour moi ? Je ne suis pas votre fils. Oh, de sang, peut-être. Mais pas de cœur ; vous n’êtes pas ma famille et vous ne l’avez jamais été. Désormais, j'espère encore. Quoi donc ? J’espère qu’au moins une fois dans votre vie, vous aurez eu des regrets. J’espère juste que je vous ai manqué quelque fois. Vous, vous m’avez manqué tous les jours de ma vie. Mais c’est terminé maintenant ; je ne serais plus jamais triste pour vous. Et si un jour je deviens père, je ferais tout pour qu’il ne grandisse pas comme moi. Je ferais tout pour qu’il ne soit pas seul... Et surtout, je ferais tout pour qu’il ne regrette pas d’être né. Absolument tout.

21 ans : Je suis un adulte. Peut-être seul, qu'importe. Je suis un adulte. Je continue les études pour être aussi brillant que toi, Papa, mais jamais je ne négligerai ce qui compte pour moi. Jamais. Malheureusement, je n'ai pas votre argent, vous qui m'avez renié de votre testament. Je suis donc seul au monde, face à la pauvreté, comme toujours. J'aurai vraiment aimé être choyé, être comme X ou Y, être quelqu'un d'autre. Mais ce n'est pas le cas. Alors, j'essaye de travailler pour réussir mes études, pour devenir quelqu'un d'aussi important que vous. J'enchaîne boulot sur boulot, tous aussi ridicules les uns que les autres. Je n'ai jamais le temps de dormir, toujours dans mes révisions, dans mon taff : mon âme se voue entièrement aux études. Cependant, j'ai été renvoyé hier. Alors, aujourd'hui, j'ai essayé de trouver un autre travail, sans me casser encore plus la tête afin de payer ce qui me reste d'années. Et demain, je serais là-bas, dans un autre monde mais toujours dans ma bulle. Sainte-Croix, tu es belle ; fais de moi un grand homme. 

Aujourd'hui, qui suis-je ?
Je suis une étoile qui tout d’abord scintille, puis mon éclat se voile et c'est de gris que je m'habille. La lumière de cette constellation est tellement belle, tellement belle que de partout elle brille. Mais l’âme humaine est trop cruelle. Et doucement, la flamme vacille. Envahie par le désarroi, la petite étoile décline. Étouffée par trop d’indifférence, doucement elle s’incline et tire sa révérence. Emportée par son chagrin, une petite étoile s’éteint. Je suis cette petite étoile déchue, reniée par les siens, exilée du ciel et condamnée à vivre seule. Si seulement j'avais pu vous manquer. Vous, je vous le redis, vous m'avez manqué tous les jours, à chaque instant de ma vie. Encore une fois, je rigole devant mes paroles. Et puis, quelle ironie. Je crois que je ne vous aurais jamais autant parlé qu’aujourd’hui, devant votre tombe. Il a fallu que vous quittiez ce monde pour que je puisse vous voir. Soit, je vous laisse, je ne reviendrais pas. Une nouvelle vie m'attend, sans vous, encore une fois. Mais cette fois-ci, je n'aurais aucun espoir et aucun regret à avancer. 


Je vous le dis une dernière fois, 
Un message d'adieu, 
Neuf petits mots,
Trente et une lettres :
Je vous hais. 
Je vous aime.
Rest in peace
.


[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]

C'est quoi ton nom ? Dyeu, mais on me nomme aussi Nell. 
Tu peux nous dire ton âge ? Le même âge que ta mère quand elle avait mon âge.
Comment t'as connu le forum ? C'est l'autre [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] qui me l'a fait connaître, patate. 
T'as lu le règlement ? Va mourir. J'ai faim. 
T'aimes les grenouilles ? PATATE.
Autre chose mon chou ? PATATE.




Dernière édition par Eileen Hers le Sam 4 Mai - 18:05, édité 1 fois
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Eileen Hers
Eileen Hers
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.: I.D.C.A.R.D.☆D'Elys :.
Mon camp : Les Crux
Mes capacités : Fiche de Nell ♥ Empty
MessageSujet: Re: Fiche de Nell ♥   Fiche de Nell ♥ EmptySam 4 Mai - 16:11

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Nom : Jun.
Prénom(s) : Kyun Hyun. 
Âge : Vingt-quatre ans. 
Date d'anniversaire : Trente juillet. 
Origine : Corée du sud - Séoul. 
Sexe & Orientation: Masculin ▬ Hétérosexuel.
Poste : Psychologue.
Groupe : School staff.

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« Désagréable, vulgaire et chiant. Faites-le dégager d'ici, bon sang. »

Quand on dit Mr. Jun, on pense tout de suite à ce mystérieux brun quelque peu distant, presque insociable, avec nous. Quand on aborde le sujet de sa carrière, on se dit tout de suite qu'on aimerait aussi faire semblant d'être fous pour avoir l'exclusivité de pouvoir profiter des bienfaits de sa présence, si bienfaits il y en avait. En effet, tu n'as jamais aimé l'Humain dans toute sa médiocrité : il te fait trop pitié. Tous ces individus sans but, sans personnalité, sans originalité, sans problèmes, sans maux et sans malheurs : tu les exècre tous. Tu ne te sens pas au-dessus d'eux, ni supérieur, c'est eux qui ont cette impression quand tu converses avec. Sont-ils donc si débiles, de propager inutilement des propos sans preuves, alors que c'est leur propre personne qui a dévoilé de telles inepties ? Ils semblent tous oublier que ces meurs ne sortent que de leur bouche et certainement pas de la tienne, même si tu ne démentis pas ces rumeurs qui caressent les pensées de certains. Après tout, à bon entendeur, tu n'es guère sot pour te faire valoir une image de l'homme idéal :  modèle d'espoirs anéantis en vain et de surcroit complètement absurde. Malgré tout, personne ne se décidait à te fuir comme si, à la simple vue de ta silhouette, la zone où tes pieds frôlaient le sol était infectée et condamnée. Chaque jour, il fallait donc qu'il y est un de ces gosses qui viennent te dévoiler ses songes les plus intimes, comme si ton bureau était devenu l'Abbé-Pierre, sans messes, cependant. En fait, tu te considérais un peu comme Dyeu, quand on venait se confesser sur ton sofa. Parfois, on te demandait des services : mais ce qu'ils ne comprenaient toujours pas, c'était que tu avais beau être un petit salaud, tu n'étais pas non plus soumis à une hiérarchie qui t'était supérieur. Donc, la plupart du temps, tu ne leur lançais que de vulgaires grossièretés à base de mots décousus. Car oui, tu avais beau être peu bavard, les seules paroles que tu sortais étaient toutes sèches ou cassantes, presque humiliantes. D'ailleurs, de ce fait, la plupart du temps, tu ne préférais pas répondre à des questions futiles, comme un bonjour sans lendemain ou encore, un : comment ça va ? inutile à en juger par ta mine indifférente qui reflétait pourtant bel et bien le fond de ta pensée. 


« Euh... Ils vont bien ses chevilles ? Non mais sérieusement, faudrait vérifier ça, hein. »

Tu possèdes le pêché de l'orgueil qui coule dans tes veines, atteignant même ton cerveau... Qui peut alors expliquer le pourquoi du comment la naissance de ta folie. Est-ce dû à un endommagement de tes cervicales neuromusculaires ? À moins de t'étudier ou de te disséquer en te maintenant en vie dans un glaçon, il est techniquement impossible de le vérifier. Enfin, le besoin ne se fait, de toute manière, point sentir. En effet, ce qu'on remarque en prime chez toi, c'est ta réticence à l'égard de toute relation mais après, quand on te parle, quand tu nous parles, quand tu nous regardes : là, le doute n'est plus permis. Tu es un vantard et de la pire espèce, en plus... Orgueil, ton plus grand défaut. Par conséquent, tu ne veux céder. Et, imperceptiblement, la tension s’installe, le ton monte et les étincelles menacent, surtout quand un autre narcissique s'époumone à vouloir discuter avec toi. La suspicion prend alors place et chaque geste est matière à polémiquer, chaque mot, chaque regard, tout est analysé. Colère. Froide colère qui s’installe, malgré vous. Malgré tout. Et qui se montre bien plus destructrice que tout ce qu’on pouvait imaginer. Les mots fusent, blessants, poignants comme l'acier le plus dur. Les cris. Et les disputes. Chaque jour d’avantage il y en a. Et la rancœur inévitablement s’installe. Chaque pas en avant est un peu plus définitif et l’amertume éteint la flamme. Au fond, on sait bien comment tout ça finira. Mais ni toi, ni nous n’avons le courage de le dire. Au final, des liens, tu en veux bien. Seulement, comme un gosse, tu n'es pas capable de prendre soin des jouets qu'on te donne. Alors, des relations décrites comme plus haut, tu en vois la couleur tous les jours. Et elles, elles sont souvent détruites de la même manière. Toutes, sans exception.


« Le chat et la souris. »

Parlons désormais de tes défauts, chose que tu maîtrises à la perfection puisque tu sembles être aimé et à la fois détesté par ceux qui t'ont parlé, dans tes mauvais moments ou non. En effet, on pouvait confirmer que tu étais un vrai cas... Ou plutôt, un vrai pessimiste : toujours à l'afflux de propos négatives. De ce fait, les plus optimistes sortaient parfois complètement chamboulés de vos conversations Ô combien tenues au secret... Et on se demande alors en quoi tu as pu devenir psychologue : un métier censé aidé ceux qui sont dans le doute, normalement. Mais ça, tu t'en branles comme de l'an 44. Tu continues de flâner inlassablement, semblant pourtant toujours occupé. L'animal qui te définirait le mieux ? Un chat, sans doute. Indifférent au monde, flemmard, cruel, opportuniste. Oui, tu étais comme eux. Enfin, il était peut-être ridicule de te comparer à une sous-espèce aussi flegmatique mais l'image de ces bestioles semblaient parfaitement te correspondre... Un peu trop. Car oui,  nous le savons tous ; le chat est un animal libre, fier et orgueilleux et c'est justement pour cela qu'on pourrait te reconnaître dans les caractéristiques de ce félin. Oui, si tu n'as vraiment aucune volonté pour réaliser quelques choses, tu ne feras absolument rien et vis-versa. C'est simple dans ta  tête en fait ; soit tout, soit rien, mais il ne faut surtout pas que l'on croit que tu es quelqu'un de simplet. Non, toi, tu es un vrai type assez dur à connaître et qui est au premier abord, horripilant. C'est à peine si on pouvait échanger plus de vingt mots avec toi sans se faire envoyer balader... C'est pour dire. Et puis, cette manie que tu as de tout le temps scruter de travers les gens auxquels tu t'adresses : ton regard est si foudroyant et noir qu'on croirait que tu portes une haine irréversible envers nous ! Et ça, ça donne la chair de poule. Par ailleurs, je pourrais aussi constater que tu restes semblable à un loir. Tu t'endors partout et n'importe quand à des horaires invraisemblables, surtout lorsque tu t'ennuies ou ne t'intéresse pas à la discussion qui a lieu. Et, parlons du meilleur pour la fin : ce que tu détestes par dessus-tout ? Qu'on entrave ta période de « repos ». En fait, tu n'aimes tout simplement pas être déranger alors que tu vaques à ses occupations. 


« Je t'emmerde, Ducon. »

Dégage, tu me fais chier. 
Tu n'as que ces mots à la bouche et tu n'hésites pas à les balancer à quiconque et ce, même si on ne dit que ton nom. Effectivement, tu es vulgaire, ça, c'est su. Mais tu ne fais aussi aucun effort pour t'entendre avec les autres : un vrai ermite. Seul, dans ton coin, tu as cependant l'air de t'y plaire. Alors, certains essayeront de percer la carapace de ce cher homme énigmatique que tu es : complètement DÉBILE puisque tu n'as pas de masque ou quoi que ce soit. Tu es juste toi, un psychologue prisé mais totalement ironique. Pourtant, quelque fois, tu essayes d'être sympathique, presque charismatique : sans succès. Ton humeur exécrable reprend bien trop vite le dessus. Quand on chasse le naturel, il revient au galop. Toujours. 
Depuis combien de temps ton personnage est-il ici ?
Hyun doit sans doute être là il y a de cela trois ans. Dès l'âge exigé et requis, on pouvait ainsi dire qu'il a rejoins Sainte-Croix et ce, dans l'immédiat.

Quelle relation ton personnage entretient avec les élèves ?
Généralement, tout le monde l'évite. Après tout, qui aimerait donc tuer le temps avec un dépressif comme lui ? D'ailleurs, quelques membres du club de journalisme prétendent même que c'est plutôt lui qui aurait besoin de consulter un bon psy. De grossière débilités ridiculement rédigées. Et dire qu'on abattait des forêts pour que des sots puissent assouvir leurs caprices ainsi que leurs lubies irréfléchies ! Tss. Ç'en était presque pitoyable. Et pourtant, certaines filles gloussent sur son passage. D'autres font exprès d'enfreindre les prohibés imposés au sein de la pension pour simplement aller le voir, histoire de pouvoir le scruter durant l'heure d'entretien. Et, parfois, elles inventent elles-même des problèmes avec X ou Y, prétextant se sentir oppressées ou que sais-je encore. Ce ne sont que des balivernes, rien de plus. Malheureusement, de son côté, il ne perçoit pas les choses de la même manière. En effet, les élèves trop perturbés psychologiquement ou complètement excentriques, il leur parle, les écoute, et finit par leur dire : casse-toi. Il comprend parfaitement l'influence qu'il exerce après de tous ces demoiselles mais il reste strictement professionnel, et ce, même s'il aborde alors un sourire narquois à chaque fois. Après tout, n'est-ce pas amusant de voir des gosses se démener pour un rien ? Surtout qu'ils étaient tous pareils. Oui, ils étaient tous apathiques et boulimiques à souhait. Sans exception. De vrais moutons.

Quelle relation ton personnage entretient avec l'équipe de l'école ?
Eh bien... S'il a du succès auprès des étudiants, on ne pouvait pas dire que ses collègues fassent de lui un individu courtois et sociable. Au contraire, le personnel trouve même que son air se fait un peu trop hautain et qu'il exècre trop de monde, pour simplement dire, tout le monde. Tous le trouvent trop ironique dans ses propos, même cruel. Effectivement, ses sourires ne sont que moqueurs, ses gestes d'affections n'en sont même pas un et ne parlons même pas de l'attention dérisoire qu'il porte à son entourage ; ce mec est un gros connard, ni plus, ni moins. 

Le métier que ton personnage exerce lui plait-il ? Pourquoi ?
Il hait ce métier mais a su y prendre du plaisir en se moquant d'autrui. Toutes ces personnes possédant des problèmes ne sont que des imbéciles qui caressent sa vie et s'en vont, fugaces, tel une brise. Malheureusement pour eux, tous leurs secrets, leurs hontes ou encore leurs plus grandes peurs : il les connaît tous. Cependant, le secret professionnel l'interdit d'exhiber quoi que ce soit. Seulement, qui avait donc dit qu'il était un de ces pions ?

Que pense ton personnage de ce projet ?
Stupide. Utopiste. Inconcevable... En fait, il s'en fout. S'il a voulu y prendre part, il serait ridicule de trouver cette idée complètement monstrueuse. Soyons cohérents.

[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
24 ans : J'ai toujours trouvé le monde injuste. Mais eux ce sont les pires : les enfants, âmes corrompus ; je ne les ai jamais trouvé innocentes et pures, comme le disaient certains. Pourtant, tout le monde les aiment.

10 ans : Les enfants sont cruels, mais parce qu’ils sont petits, on leur pardonne. Et moi ? Je suis petit aussi. Mais moi, on m’abandonne. Un jour, je serais grand, et je leur montrerai. Pour l’instant j’endure mais la roue finit toujours par tourner, je le sais, j'en suis sûr. Je changerais. Il le faut. Un jour, ils verront. Ils verront, eux, ceux que je hais, ceux que je déteste. Oui, tous. Et moi, je ne pardonnerais pas. Jamais. Je ne suis pas niais. Je le sais, je le sens, que tous les jours, ils se moquent de moi. Ils m’insultent, ils m’humilient. Et sans rien dire, je supporte. Ça les fait bien rire, et à moi aussi. Si jeunes, mais déjà bourreaux, se délectant de la souffrance des autres. Et surtout de la mienne. Mais un jour, je serai fort. Un jour, je serai beau. Un jour, ils m’aimeront. Oui, un jour, tout changera. Et ça sera trop tard. Pour l'instant, j'attends mon heure. Et j’observe, entretenant ma haine. Quoi donc ? La bêtise humaine, songeant au futur. On m'a dit que c'était la jungle dehors. On m'a dit que soit tu es faible, soit tu es fort, que soit tu gagnes, soit tu perds. Mais je sais que tout cela est éphémère. Aujourd'hui, ils sont stars de la cour de récré, playboys des bacs à sable, mais demain sera un autre jour. Tous, ils oublient que le temps passe, et qu'à un autre lendemain, ils ne seront plus personne.

16 ans : Le temps est passé, les choses ont changé. Je suis fort et beau. Ils m’aiment, ils m’admirent, ils me jalousent, ils me respectent. Mais moi je les méprise, tous. Visiblement, ils ont la mémoire bien courte. Moi pas, dommage. En effet, je n’ai pas oublié l'enfer de mes 10 ans ; je n’ai pas pardonné leur cruauté. Tout ce que je sais, c'est que jamais je ne les aimerais. Cependant, en me voyant seul, toujours, on me dit de laisser tomber, de me familiariser. C'est trop dur ; je dois vivre avec mes blessures, cela me permet de ne pas devenir complètement fou. Mais personne ne le comprend. Au lycée, dans les rues, tout le temps, on me trouve inaccessible. Sont-ils donc tous débiles ? C'est faux, je me protège juste d'eux. Eux, les créatures versatiles à la suite du plus fort. Cependant, aujourd'hui, le plus fort, c’est moi mais je n’en profite même pas ; je me contente de vivre dans ma bulle, loin de la médiocrité du monde. Parfois, je vois des enfants, ils se mettent à tous contre un. Et celui qui reste seul a quelque chose dans le regard, comme une volonté de grandir, vite, plus vite que les autres. Je ne bronche jamais, les regardant toujours. Ce gosse est un bouc-émissaire, comme moi, comme d'autres avant lui, et comme probablement d'autres après lui. Finalement, le monde était bien fait. Ou peut-être pas. Il y a aussi eux, ceux que je hais aussi bien que j'adore. Ceux qui m'ont gâché la vie, ceux qui m'ont déçu... Ceux qui m'ont détruit, petit à petit.

C'était mes parents mais c'était aussi mon pire cauchemar.
Maman. Ton plus grand rêve était la liberté ; c'est pour ça que tu aimais tant les avions, voler dans le ciel comme un oiseau... Être libre. Et moi, peut-être que j’entravais cette liberté. Alors, pourquoi m’as-tu fait venir au monde ? Tu ne venais jamais me voir. Je me pose tellement de questions auxquelles tu n'en as rien a fiche. M’as-tu seulement aimé un jour, une heure, une minute ? Ou n’étais-je qu’une entrave à tes projets ? Et toi, papa. Ton plus grand rêve était de briller ; c'est pour ça que tu es devenu pilote. Un métier qui impressionne, une belle carrière : la réussite. Moi je ne souhaitais qu’une chose : qu'un jour tu te souviennes que j’existe et que tu sois fier de moi. Que tu me regarde avec les yeux d’un père au lieu de préférer tes maudits avions. À cause de cela, je n’ai peur que d’une chose, moi, le grand insensible, le cœur de pierre, l'homme infléchi : les avions. Je n’y ai jamais mis les pieds pourtant, mais ils sont la cause de votre absence, parce que vous les aimiez plus que moi. Pendant que vous profitiez du ciel, moi j’étais seul. Tous les jours j’attendais. Un coup de fil, une lettre et peut-être même une visite... Je crois bien que c’est ce que je désirais le plus au monde. Je m'en fichais des cadeaux, je m'en fichais de l'argent. Tout ce que je voulais, tout ce que je désirais, mon seul souhait, mon seul voeux : c'était de ne plus jamais être seul le jour de mon anniversaire, le jour de Noël... Ou tout simplement, tous les jours. J’ai tellement attendu que vous passiez cette maudite porte ! Putain de merde, ce que je voulais vous voir, tous les deux ! Savez-vous combien de nuits j'ai dû veiller, dans l'espoir de ne jamais vous rater si vous passiez ? J'avais beau prié, ce n'est jamais arrivé. Vous m’avez simplement abandonné. Et le jour où j’ai reçu cette lettre d’émancipation, j’ai perdu mes dernières illusions. J’ai compris que jamais je ne vous reverrais. Pourtant, je ne demandais pas la lune. Mon seul désir était de me sentir aimé, que vous soyez là pour moi comme des parents pour leur fils. Était-ce trop demander ? Si vous saviez comme je vous en veux. 

19 ans : Et le temps passe, et la tristesse n’a pas diminué. Je vous en veux tellement. Au fond,  je n’étais qu’une charge pour vous et vous m’avez condamné à ma solitude. Je n’ai pourtant pas demandé à naitre. Alors... Pourquoi est-ce à moi de payer pour vos erreurs ? Parce que j’en suis forcément une, sinon vous ne seriez pas partis. Pourquoi c’est toujours aux enfants de payer pour les grands ? C’est trop facile. J'étais une étoile invisible. La petite étoile qui s’éteint et qui, petit à petit, voit sa lumière lumière décliner. De plus en plus, comme elle, je me noyais dans le chagrin. Parce qu’en moi, plus rien ne s’illuminait. J'ai toujours eu de la peine parce que vous ne me voyez pas, mais mon amour me freine, alors je ne vous disais rien. Pourtant, j'hurlais à l’intérieur. Je criais, sans cesse, je clamais : Je suis là, regardez-moi ! Mais vous restiez toujours dans les cieux, inaccessibles, laissant les abysses m'engloutirent. Et chaque jour se brisait mon cœur, parce que vous ne m'entendiez pas. Parfois, j'essayais de vous parler. Mais aussitôt, je me désolais ; c'était la même chose à chaque fois : vous me coupiez la parole. Est-ce à cause de ma toute petite voix ? Est-ce parce que je voulais trop exister pour vous, que je n'arrivais pas à vous en vouloir quand vous me disiez que vous ne pouviez pas me parler ? Chaque fois, chaque jour, la petite étoile que j'étais se noyais. Comment avancer en souriant ? Trop difficile, j'étais constamment délaissé et je me sentais chaque jour un peu plus fragile. J'ai essayé, vraiment, à créer des souvenirs avec vous. J'avais commencé mes études, j'ai eu mon brevet, mon bac, j'ai travaillé, encore et encore. Pour tenter de m'exprimer autrement, de vous plaire autrement. Mais une nouvelle fois, vous m'aviez ignoré. Haha, c'est con mais je me sentais de plus en plus minable... Et triste. Tellement triste. J'ai finis par me sentir coupable, tellement que je suis débile. Un pauvre con, vraiment. Mais malheureusement, j'en venais à me demander pourquoi j'existais. Et c'est toujours le cas. Mais désormais, je ris. Je ris devant une vielle farce que m'a apprit le temps : la vie va et vient, elle donne et reprend, un bonheur pour un malheur. Et aujourd'hui, c’était votre tour d’en faire les frais.

20 ans : C'est cet avion si cher à vos yeux qui vous a conduit à votre perte. J'étais pourtant chez moi, à ne rien demander, dans mon coin, quand on m'a appelé. J'avais eu l'espoir d'un aveugle et l'espérance d'un sourd, comme si rien ne s'était passé : mais ce n'était pas vous. Encore. Cependant, on m'a demandé d'allumer ma télé. Quand j’ai entendu les informations, j’ai eu du mal à le croire. C’était pourtant vrai. Un crash, pas de survivants. C’est triste à dire, mais je crois que je n’ai même pas eu de peine. Parce qu’au fond, qu’est ce que ça change pour moi ? Je ne suis pas votre fils. Oh, de sang, peut-être. Mais pas de cœur ; vous n’êtes pas ma famille et vous ne l’avez jamais été. Désormais, j'espère encore. Quoi donc ? J’espère qu’au moins une fois dans votre vie, vous aurez eu des regrets. J’espère juste que je vous ai manqué quelque fois. Vous, vous m’avez manqué tous les jours de ma vie. Mais c’est terminé maintenant ; je ne serais plus jamais triste pour vous. Et si un jour je deviens père, je ferais tout pour qu’il ne grandisse pas comme moi. Je ferais tout pour qu’il ne soit pas seul... Et surtout, je ferais tout pour qu’il ne regrette pas d’être né. Absolument tout.

21 ans : Je suis un adulte. Peut-être seul, qu'importe. Je suis un adulte. Je continue les études pour être aussi brillant que toi, Papa, mais jamais je ne négligerai ce qui compte pour moi. Jamais. Malheureusement, je n'ai pas votre argent, vous qui m'avez renié de votre testament. Je suis donc seul au monde, face à la pauvreté, comme toujours. J'aurai vraiment aimé être choyé, être comme X ou Y, être quelqu'un d'autre. Mais ce n'est pas le cas. Alors, j'essaye de travailler pour réussir mes études, pour devenir quelqu'un d'aussi important que vous. J'enchaîne boulot sur boulot, tous aussi ridicules les uns que les autres. Je n'ai jamais le temps de dormir, toujours dans mes révisions, dans mon taff : mon âme se voue entièrement aux études. Cependant, j'ai été renvoyé hier. Alors, aujourd'hui, j'ai essayé de trouver un autre travail, sans me casser encore plus la tête afin de payer ce qui me reste d'années. Et demain, je serais là-bas, dans un autre monde mais toujours dans ma bulle. Sainte-Croix, tu es belle ; fais de moi un grand homme. 

Aujourd'hui, qui suis-je ?
Je suis une étoile qui tout d’abord scintille, puis mon éclat se voile et c'est de gris que je m'habille. La lumière de cette constellation est tellement belle, tellement belle que de partout elle brille. Mais l’âme humaine est trop cruelle. Et doucement, la flamme vacille. Envahie par le désarroi, la petite étoile décline. Étouffée par trop d’indifférence, doucement elle s’incline et tire sa révérence. Emportée par son chagrin, une petite étoile s’éteint. Je suis cette petite étoile déchue, reniée par les siens, exilée du ciel et condamnée à vivre seule. Si seulement j'avais pu vous manquer. Vous, je vous le redis, vous m'avez manqué tous les jours, à chaque instant de ma vie. Encore une fois, je rigole devant mes paroles. Et puis, quelle ironie. Je crois que je ne vous aurais jamais autant parlé qu’aujourd’hui, devant votre tombe. Il a fallu que vous quittiez ce monde pour que je puisse vous voir. Soit, je vous laisse, je ne reviendrais pas. Une nouvelle vie m'attend, sans vous, encore une fois. Mais cette fois-ci, je n'aurais aucun espoir et aucun regret à avancer. 


Je vous le dis une dernière fois, 
Un message d'adieu, 
Neuf petits mots,
Trente et une lettres :
Je vous hais. 
Je vous aime.
Rest in peace
.


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C'est quoi ton nom ? Dyeu.
Tu peux nous dire ton âge ? Le même âge que ta mère quand elle avait mon âge.
Comment t'as connu le forum ? C'est l'autre [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] qui me l'a fait connaître, patate. 
T'as lu le règlement ? Va mourir. J'ai faim. 
T'aimes les grenouilles ? PATATE.
Autre chose mon chou ? PATATE.




Dernière édition par Eileen Hers le Sam 4 Mai - 18:06, édité 1 fois
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Eileen Hers
Eileen Hers
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MessageSujet: Re: Fiche de Nell ♥   Fiche de Nell ♥ EmptySam 4 Mai - 16:11

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<div style="border-left: 5px solid #CFE625; border-right: 5px solid #CFE625; background: #F9FAE1; width: 470px; margin: auto; border-radius : 0px 0px 0px 0px;"><img src="http://img11.hostingpics.net/pics/184363hyunban02.png" width="470" >
<table border="0"><tr><td align="left"></td><td align="left">[b]Nom [/b]: Jun.
[b]Prénom(s) [/b]: Kyun Hyun. 
[b]Âge [/b]: Vingt-quatre ans. 
 [b]Date d'anniversaire [/b]: Trente juillet. 
[b]Origine [/b]: Corée du sud - Séoul. 
[b]Sexe & Orientation[/b]: Masculin ▬ Hétérosexuel.</td><td align="left">[b]Poste[/b] : Psychologue.
[b]Groupe [/b]: School staff.</td></tr></table>

<table border="0"><tr><td align="left"><img src="http://www.pixenli.com/images/1365/1365368324015135700.png" border="0" alt="" /> </td><td align="left"> <img src="http://www.pixenli.com/images/1365/1365368394093735600.png" border="0" alt="" /></td></tr></table><table border="0"><tr><td align="left"> <div style="margin:5px; width: 190px; font-size:10px; text-align:justify; background: #F9FAE1; padding:10px; border: #CFE625  solid  2px; -moz-border-radius: 10px; -webkit-border-radius: 10px; border-radius: 10px; box-shadow: 0px 0px 0px Black;"><div style="width:100%;height:220px;overflow:auto;">Décris ici tout ce qui concerne la mentalité, la personnalité de ton personnage. Attention, reste bien en accord avec le groupe dont il va faire parti, ne fait pas une Doll avec des sentiments, ce serait illogique. On ne demande pas un minimum de ligne mais le mieux serait de développer à fond cette partie pour qu'on en sache le plus possible.</div></div></td> </td><td align="left"> <div style="margin:5px; font-size:10px; text-align:justify; background: #F9FAE1; padding:10px; border: #CFE625  solid  2px; -moz-border-radius: 10px; -webkit-border-radius: 10px; border-radius: 10px; box-shadow: 0px 0px 0px Black;"><div style="width:100%;height:220px;overflow:auto;">[color=#CFE625][b]Depuis combien de temps ton personnage est-il ici ?[/b][/color]
Hyun doit sans doute être là il y a de cela trois ans. Dès l'âge exigé et requis, on pouvait ainsi dire qu'il a rejoins Sainte-Croix et ce, dans l'immédiat.

[color=#CFE625][b]Quelle relation ton personnage entretient avec les élèves ?[/b][/color]
Généralement, tout le monde l'évite. Après tout, qui aimerait donc tuer le temps avec un dépressif comme lui ? D'ailleurs, quelques membres du club de journalisme prétendent même que c'est plutôt lui qui aurait besoin de consulter un bon psy. De grossière débilités ridiculement rédigées. Et dire qu'on abattait des forêts pour que des sots puissent assouvir leurs caprices ainsi que leurs lubies irréfléchies ! [i]Tss. Ç'en était presque pitoyable[/i]. Et pourtant, certaines filles gloussent sur son passage. D'autres font exprès d'enfreindre les prohibés imposés au sein de la pension pour simplement aller le voir, histoire de pouvoir le scruter durant l'heure d'entretien. Et, parfois, elles inventent elles-même des problèmes avec X ou Y, prétextant se sentir oppressées ou que sais-je encore. Ce ne sont que des balivernes, rien de plus. Malheureusement, de son côté, il ne perçoit pas les choses de la même manière. En effet, les élèves trop perturbés psychologiquement ou complètement excentriques, il leur parle, les écoute, et finit par leur dire : [b]casse-toi[/b]. Il comprend parfaitement l'influence qu'il exerce après de tous ces demoiselles mais il reste strictement professionnel, et ce, même s'il aborde alors un sourire narquois à chaque fois. Après tout, n'est-ce pas amusant de voir des gosses se démener pour un rien ? Surtout qu'ils étaient tous pareils. Oui, ils étaient tous apathiques et boulimiques à souhait. Sans exception. De vrais moutons.

[color=#CFE625][b]Quelle relation ton personnage entretient avec l'équipe de l'école ?[/b][/color]
Eh bien... S'il a du succès auprès des étudiants, on ne pouvait pas dire que ses collègues fassent de lui un individu courtois et sociable. Au contraire, le personnel trouve même que son air se fait un peu trop hautain et qu'il exècre trop de monde, pour simplement dire, tout le monde. Tous le trouvent trop ironique dans ses propos, même cruel. Effectivement, ses sourires ne sont que moqueurs, ses gestes d'affections n'en sont même pas un et ne parlons même pas de l'attention dérisoire qu'il porte à son entourage ; ce mec est un gros connard, ni plus, ni moins. 

[color=#CFE625][b]Le métier que ton personnage exerce lui plait-il ? Pourquoi ?[/b][/color]
Il hait ce métier mais a su y prendre du plaisir en se moquant d'autrui. Toutes ces personnes possédant des problèmes ne sont que des imbéciles qui caressent sa vie et s'en vont, fugaces, tel une brise. Malheureusement pour eux, tous leurs secrets, leurs hontes ou encore leurs plus grandes peurs : il les connaît tous. Cependant, le secret professionnel l'interdit d'exhiber quoi que ce soit. Seulement, qui avait donc dit qu'il était un de ces pions ?

[color=#CFE625][b]Que pense ton personnage de ce projet ?[/b][/color]
Stupide. Utopiste. Inconcevable... En fait, il s'en fout. S'il a voulu y prendre part, il serait ridicule de trouver cette idée complètement monstrueuse. Soyons cohérents.
</div></div></td></td></tr></table>

[center]<img src="http://www.pixenli.com/images/1365/1365368611056135700.png" border="0" alt="" />[/center]<div style="margin:5px; font-size:10px; text-align:justify;  background: #F9FAE1; padding:5px; border: #CFE625  solid  2px; -moz-border-radius: 10px; -webkit-border-radius: 10px; border-radius: 10px; box-shadow: 0px 0px 0px Black;"><div style="width:100%;height:140px;overflow:auto;">▬ [b]24 ans [/b]: J'ai toujours trouvé le monde injuste. Mais eux ce sont les pires : les enfants, âmes corrompus ; je ne les ai jamais trouvé innocentes et pures, comme le disaient certains. Pourtant, tout le monde les aiment.

▬ [b]10 ans [/b]: Les enfants sont cruels, mais parce qu’ils sont petits, on leur pardonne. Et moi ? Je suis petit aussi. Mais moi, on m’abandonne. Un jour, je serais grand, et je leur montrerai. Pour l’instant j’endure mais la roue finit toujours par tourner, je le sais, j'en suis sûr. Je changerais. Il le faut. Un jour, ils verront. Ils verront, eux, ceux que je hais, ceux que je déteste. Oui, tous. Et moi, je ne pardonnerais pas. Jamais. Je ne suis pas niais. Je le sais, je le sens, que tous les jours, ils se moquent de moi. Ils m’insultent, ils m’humilient. Et sans rien dire, je supporte. Ça les fait bien rire, et à moi aussi. Si jeunes, mais déjà bourreaux, se délectant de la souffrance des autres. Et surtout de la mienne. Mais un jour, je serai fort. Un jour, je serai beau. Un jour, ils m’aimeront. Oui, un jour, tout changera. Et ça sera trop tard. Pour l'instant, j'attends mon heure. Et j’observe, entretenant ma haine. Quoi donc ? La bêtise humaine, songeant au futur. On m'a dit que c'était la jungle dehors. On m'a dit que soit tu es faible, soit tu es fort, que soit tu gagnes, soit tu perds. Mais je sais que tout cela est éphémère. Aujourd'hui, ils sont stars de la cour de récré, playboys des bacs à sable, mais demain sera un autre jour. Tous, ils oublient que le temps passe, et qu'à un autre lendemain, ils ne seront plus [b]personne. [/b]

▬ [b]16 ans [/b]: Le temps est passé, les choses ont changé. Je suis fort et beau. Ils m’aiment, ils m’admirent, ils me jalousent, ils me respectent. Mais moi je les méprise, tous. Visiblement, ils ont la mémoire bien courte. Moi pas, dommage. En effet, je n’ai pas oublié l'enfer de mes 10 ans ; je n’ai pas pardonné leur cruauté. Tout ce que je sais, c'est que jamais je ne les aimerais. Cependant, en me voyant seul, toujours, on me dit de laisser tomber, de me familiariser. C'est trop dur ; je dois vivre avec mes blessures, cela me permet de ne pas devenir complètement fou. Mais personne ne le comprend. Au lycée, dans les rues, tout le temps, on me trouve inaccessible. Sont-ils donc tous débiles ? C'est faux, je me protège juste d'eux. Eux, les créatures versatiles à la suite du plus fort. Cependant, aujourd'hui, le plus fort, c’est moi mais je n’en profite même pas ; je me contente de vivre dans ma bulle, loin de la médiocrité du monde. Parfois, je vois des enfants, ils se mettent à tous contre un. Et celui qui reste seul a quelque chose dans le regard, comme une volonté de grandir, vite, plus vite que les autres. Je ne bronche jamais, les regardant toujours. Ce gosse est un bouc-émissaire, comme moi, comme d'autres avant lui, et comme probablement d'autres après lui. Finalement, le monde était bien fait. Ou peut-être pas. Il y a aussi eux, ceux que je hais aussi bien que j'adore. Ceux qui m'ont gâché la vie, ceux qui m'ont déçu... Ceux qui m'ont détruit, petit à petit.

[i]C'était mes parents mais c'était aussi mon pire cauchemar.[/i]
[b]Maman. [/b]Ton plus grand rêve était la liberté ; c'est pour ça que tu aimais tant les avions, voler dans le ciel comme un oiseau... Être libre. Et moi, peut-être que j’entravais cette liberté. Alors, pourquoi m’as-tu fait venir au monde ? Tu ne venais jamais me voir. Je me pose tellement de questions auxquelles tu n'en as rien a fiche. M’as-tu seulement aimé un jour, une heure, une minute ? Ou n’étais-je qu’une entrave à tes projets ?[b] Et toi, papa[/b]. Ton plus grand rêve était de briller ; c'est pour ça que tu es devenu pilote. Un métier qui impressionne, une belle carrière : la réussite. Moi je ne souhaitais qu’une chose : qu'un jour tu te souviennes que j’existe et que tu sois fier de moi. Que tu me regarde avec les yeux d’un père au lieu de préférer tes maudits avions. À cause de cela, je n’ai peur que d’une chose, moi, le grand insensible, le cœur de pierre, l'homme infléchi : les avions. Je n’y ai jamais mis les pieds pourtant, mais ils sont la cause de votre absence, parce que vous les aimiez plus que moi. Pendant que vous profitiez du ciel, moi j’étais seul. Tous les jours j’attendais. Un coup de fil, une lettre et peut-être même une visite... Je crois bien que c’est ce que je désirais le plus au monde. Je m'en fichais des cadeaux, je m'en fichais de l'argent. Tout ce que je voulais, tout ce que je désirais, mon seul souhait, mon seul voeux : [b]c'était de ne plus jamais être seul[/b] le jour de mon anniversaire, le jour de Noël... Ou tout simplement, tous les jours. J’ai tellement attendu que vous passiez cette maudite porte ! Putain de merde, ce que je voulais vous voir, tous les deux ! Savez-vous combien de nuits j'ai dû veiller, dans l'espoir de ne jamais vous rater si vous passiez ? J'avais beau prié, ce n'est jamais arrivé. Vous m’avez simplement abandonné. Et le jour où j’ai reçu cette lettre d’émancipation, j’ai perdu mes dernières illusions. J’ai compris que jamais je ne vous reverrais. Pourtant, je ne demandais pas la lune. Mon seul désir était de me sentir aimé, que vous soyez là pour moi comme des parents pour leur fils. Était-ce trop demander ? Si vous saviez comme je vous en veux. 

▬ [b]19 ans [/b]: Et le temps passe, et la tristesse n’a pas diminué. Je vous en veux tellement. Au fond,  je n’étais qu’une charge pour vous et vous m’avez condamné à ma solitude. Je n’ai pourtant pas demandé à naitre. Alors... Pourquoi est-ce à moi de payer pour vos erreurs ? Parce que j’en suis forcément une, sinon vous ne seriez pas partis. Pourquoi c’est toujours aux enfants de payer pour les grands ? C’est trop facile. J'étais une étoile invisible. La petite étoile qui s’éteint et qui, petit à petit, voit sa lumière lumière décliner. De plus en plus, comme elle, je me noyais dans le chagrin. Parce qu’en moi, plus rien ne s’illuminait. J'ai toujours eu de la peine parce que vous ne me voyez pas, mais mon amour me freine, alors je ne vous disais rien. Pourtant, j'hurlais à l’intérieur. Je criais, sans cesse, je clamais : [b]Je suis là, regardez-moi ! [/b]Mais vous restiez toujours dans les cieux, inaccessibles, laissant les abysses m'engloutirent. Et chaque jour se brisait mon cœur, parce que vous ne m'entendiez pas. Parfois, j'essayais de vous parler. Mais aussitôt, je me désolais ; c'était la même chose à chaque fois : vous me coupiez la parole. Est-ce à cause de ma toute petite voix ? Est-ce parce que je voulais trop exister pour vous, que je n'arrivais pas à vous en vouloir quand vous me disiez que vous ne pouviez pas me parler ? Chaque fois, chaque jour, la petite étoile que j'étais se noyais. Comment avancer en souriant ? Trop difficile, j'étais constamment délaissé et je me sentais chaque jour un peu plus fragile. J'ai essayé, vraiment, à créer des souvenirs avec vous. J'avais commencé mes études, j'ai eu mon brevet, mon bac, j'ai travaillé, encore et encore. Pour tenter de m'exprimer autrement, de vous plaire autrement. Mais une nouvelle fois, vous m'aviez ignoré. Haha, c'est con mais je me sentais de plus en plus minable... Et triste. Tellement triste. J'ai finis par me sentir coupable, tellement que je suis débile. Un pauvre con, vraiment. Mais malheureusement, [b]j'en venais à me demander pourquoi j'existais. [/b]Et c'est toujours le cas. Mais désormais, je ris. Je ris devant une vielle farce que m'a apprit le temps : la vie va et vient, elle donne et reprend, un bonheur pour un malheur. Et aujourd'hui, c’était votre tour d’en faire les frais.

▬ [b]20 ans [/b]: C'est cet avion si cher à vos yeux qui vous a conduit à votre perte. J'étais pourtant chez moi, à ne rien demander, dans mon coin, quand on m'a appelé. J'avais eu l'espoir d'un aveugle et l'espérance d'un sourd, comme si rien ne s'était passé : mais ce n'était pas vous. Encore. Cependant, on m'a demandé d'allumer ma télé. Quand j’ai entendu les informations, j’ai eu du mal à le croire. C’était pourtant vrai. Un crash, pas de survivants. C’est triste à dire, mais je crois que je n’ai même pas eu de peine. Parce qu’au fond, qu’est ce que ça change pour moi ? Je ne suis pas votre fils. Oh, de sang, peut-être. Mais pas de cœur ; vous n’êtes pas ma famille et vous ne l’avez jamais été. Désormais, j'espère encore. Quoi donc ? J’espère qu’au moins une fois dans votre vie, vous aurez eu des regrets. J’espère juste que je vous ai manqué quelque fois. Vous, vous m’avez manqué tous les jours de ma vie. Mais c’est terminé maintenant ; je ne serais plus jamais triste pour vous. Et si un jour je deviens père, je ferais tout pour qu’il ne grandisse pas comme moi. Je ferais tout pour qu’il ne soit pas seul... Et surtout, je ferais tout pour qu’il ne regrette pas d’être né. [b]Absolument tout. [/b]

▬ [b]21 ans [/b]: Je suis un adulte. Peut-être seul, qu'importe. Je suis un adulte. Je continue les études pour être aussi brillant que toi, Papa, mais jamais je ne négligerai ce qui compte pour moi. Jamais. Malheureusement, je n'ai pas votre argent, vous qui m'avez renié de votre testament. Je suis donc seul au monde, face à la pauvreté, comme toujours. J'aurai vraiment aimé être choyé, être comme X ou Y, être quelqu'un d'autre. Mais ce n'est pas le cas. Alors, j'essaye de travailler pour réussir mes études, pour devenir quelqu'un d'aussi important que vous. J'enchaîne boulot sur boulot, tous aussi ridicules les uns que les autres. Je n'ai jamais le temps de dormir, toujours dans mes révisions, dans mon taff : mon âme se voue entièrement aux études. Cependant, j'ai été renvoyé hier. Alors, aujourd'hui, j'ai essayé de trouver un autre travail, sans me casser encore plus la tête afin de payer ce qui me reste d'années. Et demain, je serais là-bas, dans un autre monde mais toujours dans ma bulle. [i]Sainte-Croix, tu es belle ; fais de moi un grand homme.[/i] 

Aujourd'hui, qui suis-je ?
Je suis une étoile qui tout d’abord scintille, puis mon éclat se voile et c'est de gris que je m'habille. La lumière de cette constellation est tellement belle, tellement belle que de partout elle brille. Mais l’âme humaine est trop cruelle. Et doucement, la flamme vacille. Envahie par le désarroi, la petite étoile décline. Étouffée par trop d’indifférence, doucement elle s’incline et tire sa révérence. Emportée par son chagrin, une petite étoile s’éteint. Je suis cette petite étoile déchue, reniée par les siens, exilée du ciel et condamnée à vivre seule. [b]Si seulement j'avais pu vous manquer. Vous, je vous le redis, vous m'avez manqué tous les jours, à chaque instant de ma vie. [/b]Encore une fois, je rigole devant mes paroles. Et puis, quelle ironie. Je crois que je ne vous aurais jamais autant parlé qu’aujourd’hui, devant votre tombe. Il a fallu que vous quittiez ce monde pour que je puisse vous voir. Soit, je vous laisse, je ne reviendrais pas. Une nouvelle vie m'attend, sans vous, encore une fois. Mais cette fois-ci, je n'aurais aucun espoir et aucun regret à avancer. 


[i]Je vous le dis une dernière fois, 
Un message d'adieu, 
Neuf petits mots,
Trente et une lettres :
[b]Je vous hais. 
Je vous aime.
Rest in peace[/b]. [/i]</div></div>

[center]<img src="http://www.pixenli.com/images/1365/1365368836025015900.png" border="0" alt="" />[/center]

[b]C'est quoi ton nom ?[/b] Dyeu.
[b]Tu peux nous dire ton âge ?[/b] Le même âge que ta mère quand elle avait mon âge.
[b]Comment t'as connu le forum ?[/b] C'est l'autre [url=http://undisclosed-desires.forumactif.org/u6]courge[/url] qui me l'a fait connaître, patate. 
[b] T'as lu le règlement ?[/b] Va mourir. J'ai faim. 
[b]T'aimes les grenouilles ?[/b] PATATE.
[b]Autre chose mon chou ?[/b] PATATE.


</div>
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Eileen Hers
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Mes capacités : Fiche de Nell ♥ Empty
MessageSujet: Re: Fiche de Nell ♥   Fiche de Nell ♥ EmptyVen 28 Juin - 23:58

[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
Nom : Jun.
Prénoms : Kyun Hyun. 
Âge : Vingt-quatre ans. 
Date d'anniversaire : Trente juillet. 
Origine : Corée du sud - Séoul. 
Sexe & Orientation: Masculin ▬ Hétérosexuel.
Poste : Psychologue.
Groupe : School staff.

[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
« Désagréable, vulgaire et chiant. Faites-le dégager d'ici, bon sang. »

Quand on dit Mr. Jun, on pense tout de suite à ce mystérieux brun quelque peu distant, presque insociable, avec nous. Quand on aborde le sujet de sa carrière, on se dit tout de suite qu'on aimerait aussi faire semblant d'être fous pour avoir l'exclusivité de pouvoir profiter des bienfaits de sa présence, si bienfaits il y en avait. En effet, tu n'as jamais aimé l'Humain dans toute sa médiocrité : il te fait trop pitié. Tous ces individus sans but, sans personnalité, sans originalité, sans problèmes, sans maux et sans malheurs : tu les exècre tous. Tu ne te sens pas au-dessus d'eux, ni supérieur, c'est eux qui ont cette impression quand tu converses avec. Sont-ils donc si débiles, de propager inutilement des propos sans preuves, alors que c'est leur propre personne qui a dévoilé de telles inepties ? Ils semblent tous oublier que ces meurs ne sortent que de leur bouche et certainement pas de la tienne, même si tu ne démentis pas ces rumeurs qui caressent les pensées de certains. Après tout, à bon entendeur, tu n'es guère sot pour te faire valoir une image de l'homme idéal :  modèle d'espoirs anéantis en vain et de surcroit complètement absurde. Malgré tout, personne ne se décidait à te fuir comme si, à la simple vue de ta silhouette, la zone où tes pieds frôlaient le sol était infectée et condamnée. Chaque jour, il fallait donc qu'il y est un de ces gosses qui viennent te dévoiler ses songes les plus intimes, comme si ton bureau était devenu l'Abbé-Pierre, sans messes, cependant. En fait, tu te considérais un peu comme Dyeu, quand on venait se confesser sur ton sofa. Parfois, on te demandait des services : mais ce qu'ils ne comprenaient toujours pas, c'était que tu avais beau être un petit salaud, tu n'étais pas non plus soumis à une hiérarchie qui t'était supérieur. Donc, la plupart du temps, tu ne leur lançais que de vulgaires grossièretés à base de mots décousus. Car oui, tu avais beau être peu bavard, les seules paroles que tu sortais étaient toutes sèches ou cassantes, presque humiliantes. D'ailleurs, de ce fait, la plupart du temps, tu ne préférais pas répondre à des questions futiles, comme un bonjour sans lendemain ou encore, un : comment ça va ? inutile à en juger par ta mine indifférente qui reflétait pourtant bel et bien le fond de ta pensée. 


« Euh... Ils vont bien ses chevilles ? Non mais sérieusement, faudrait vérifier ça, hein. »

Tu possèdes le pêché de l'orgueil qui coule dans tes veines, atteignant même ton cerveau... Qui peut alors expliquer le pourquoi du comment la naissance de ta folie. Est-ce dû à un endommagement de tes cervicales neuromusculaires ? À moins de t'étudier ou de te disséquer en te maintenant en vie dans un glaçon, il est techniquement impossible de le vérifier. Enfin, le besoin ne se fait, de toute manière, point sentir. En effet, ce qu'on remarque en prime chez toi, c'est ta réticence à l'égard de toute relation mais après, quand on te parle, quand tu nous parles, quand tu nous regardes : là, le doute n'est plus permis. Tu es un vantard et de la pire espèce, en plus... Orgueil, ton plus grand défaut. Par conséquent, tu ne veux céder. Et, imperceptiblement, la tension s’installe, le ton monte et les étincelles menacent, surtout quand un autre narcissique s'époumone à vouloir discuter avec toi. La suspicion prend alors place et chaque geste est matière à polémiquer, chaque mot, chaque regard, tout est analysé. Colère. Froide colère qui s’installe, malgré vous. Malgré tout. Et qui se montre bien plus destructrice que tout ce qu’on pouvait imaginer. Les mots fusent, blessants, poignants comme l'acier le plus dur. Les cris. Et les disputes. Chaque jour d’avantage il y en a. Et la rancœur inévitablement s’installe. Chaque pas en avant est un peu plus définitif et l’amertume éteint la flamme. Au fond, on sait bien comment tout ça finira. Mais ni toi, ni nous n’avons le courage de le dire. Au final, des liens, tu en veux bien. Seulement, comme un gosse, tu n'es pas capable de prendre soin des jouets qu'on te donne. Alors, des relations décrites comme plus haut, tu en vois la couleur tous les jours. Et elles, elles sont souvent détruites de la même manière. Toutes, sans exception.


« Le chat et la souris. »

Parlons désormais de tes défauts, chose que tu maîtrises à la perfection puisque tu sembles être aimé et à la fois détesté par ceux qui t'ont parlé, dans tes mauvais moments ou non. En effet, on pouvait confirmer que tu étais un vrai cas... Ou plutôt, un vrai pessimiste : toujours à l'afflux de propos négatives. De ce fait, les plus optimistes sortaient parfois complètement chamboulés de vos conversations Ô combien tenues au secret... Et on se demande alors en quoi tu as pu devenir psychologue : un métier censé aidé ceux qui sont dans le doute, normalement. Mais ça, tu t'en branles comme de l'an 44. Tu continues de flâner inlassablement, semblant pourtant toujours occupé. L'animal qui te définirait le mieux ? Un chat, sans doute. Indifférent au monde, flemmard, cruel, opportuniste. Oui, tu étais comme eux. Enfin, il était peut-être ridicule de te comparer à une sous-espèce aussi flegmatique mais l'image de ces bestioles semblaient parfaitement te correspondre... Un peu trop. Car oui,  nous le savons tous ; le chat est un animal libre, fier et orgueilleux et c'est justement pour cela qu'on pourrait te reconnaître dans les caractéristiques de ce félin. Oui, si tu n'as vraiment aucune volonté pour réaliser quelques choses, tu ne feras absolument rien et vis-versa. C'est simple dans ta  tête en fait ; soit tout, soit rien, mais il ne faut surtout pas que l'on croit que tu es quelqu'un de simplet. Non, toi, tu es un vrai type assez dur à connaître et qui est au premier abord, horripilant. C'est à peine si on pouvait échanger plus de vingt mots avec toi sans se faire envoyer balader... C'est pour dire. Et puis, cette manie que tu as de tout le temps scruter de travers les gens auxquels tu t'adresses : ton regard est si foudroyant et noir qu'on croirait que tu portes une haine irréversible envers nous ! Et ça, ça donne la chair de poule. Par ailleurs, je pourrais aussi constater que tu restes semblable à un loir. Tu t'endors partout et n'importe quand à des horaires invraisemblables, surtout lorsque tu t'ennuies ou ne t'intéresse pas à la discussion qui a lieu. Et, parlons du meilleur pour la fin : ce que tu détestes par dessus-tout ? Qu'on entrave ta période de « repos ». En fait, tu n'aimes tout simplement pas être déranger alors que tu vaques à tes occupations. 


« Je t'emmerde, Ducon. »

Dégage, tu me fais chier. 
Tu n'as que ces mots à la bouche et tu n'hésites pas à les balancer à quiconque et ce, même si on ne dit que ton nom. Effectivement, tu es vulgaire, ça, c'est su. Mais tu ne fais aussi aucun effort pour t'entendre avec les autres : un vrai ermite. Seul, dans ton coin, tu as cependant l'air de t'y plaire. Alors, certains essayeront de percer la carapace de ce cher homme énigmatique que tu es : complètement DÉBILE puisque tu n'as pas de masque ou quoi que ce soit. Tu es juste toi, un psychologue prisé mais totalement ironique. Pourtant, quelque fois, tu essayes d'être sympathique, presque charismatique : sans succès. Ton humeur exécrable reprend bien trop vite le dessus. Quand on chasse le naturel, il revient au galop. Toujours. 
Depuis combien de temps ton personnage est-il ici ?
Hyun doit sans doute être là il y a de cela trois ans. Dès l'âge exigé et requis, on pouvait ainsi dire qu'il a rejoins Sainte-Croix et ce, dans l'immédiat.

Quelle relation ton personnage entretient avec les élèves ?
Généralement, tout le monde l'évite. Après tout, qui aimerait donc tuer le temps avec un dépressif comme lui ? D'ailleurs, quelques membres du club de journalisme prétendent même que c'est plutôt lui qui aurait besoin de consulter un bon psy. De grossière débilités ridiculement rédigées. Et dire qu'on abattait des forêts pour que des sots puissent assouvir leurs caprices ainsi que leurs lubies irréfléchies ! Tss. Ç'en était presque pitoyable. Et pourtant, certaines filles gloussent sur son passage. D'autres font exprès d'enfreindre les prohibés imposés au sein de la pension pour simplement aller le voir, histoire de pouvoir le scruter durant l'heure d'entretien. Et, parfois, elles inventent elles-même des problèmes avec X ou Y, prétextant se sentir oppressées ou que sais-je encore. Ce ne sont que des balivernes, rien de plus. Malheureusement, de son côté, il ne perçoit pas les choses de la même manière. En effet, les élèves trop perturbés psychologiquement ou complètement excentriques, il leur parle, les écoute, et finit par leur dire : casse-toi. Il comprend parfaitement l'influence qu'il exerce après de tous ces demoiselles mais il reste strictement professionnel, et ce, même s'il aborde alors un sourire narquois à chaque fois. Après tout, n'est-ce pas amusant de voir des gosses se démener pour un rien ? Surtout qu'ils étaient tous pareils. Oui, ils étaient tous apathiques et boulimiques à souhait. Sans exception. De vrais moutons.

Quelle relation ton personnage entretient avec l'équipe de l'école ?
Eh bien... S'il a du succès auprès des étudiants, on ne pouvait pas dire que ses collègues fassent de lui un individu courtois et sociable. Au contraire, le personnel trouve même que son air se fait un peu trop hautain et qu'il exècre trop de monde, pour simplement dire, tout le monde. Tous le trouvent trop ironique dans ses propos, même cruel. Effectivement, ses sourires ne sont que moqueurs, ses gestes d'affections n'en sont même pas un et ne parlons même pas de l'attention dérisoire qu'il porte à son entourage ; ce mec est un gros connard, ni plus, ni moins. 

Le métier que ton personnage exerce lui plait-il ? Pourquoi ?
Il hait ce métier mais a su y prendre du plaisir en se moquant d'autrui. Toutes ces personnes possédant des problèmes ne sont que des imbéciles qui caressent sa vie et s'en vont, fugaces, tel une brise. Malheureusement pour eux, tous leurs secrets, leurs hontes ou encore leurs plus grandes peurs : il les connaît tous. Cependant, le secret professionnel l'interdit d'exhiber quoi que ce soit. Seulement, qui avait donc dit qu'il était un de ces pions ?

Que pense ton personnage de ce projet ?
Stupide. Utopiste. Inconcevable... En fait, il s'en fout. S'il a voulu y prendre part, il serait ridicule de trouver cette idée complètement monstrueuse. Soyons cohérents.

[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
24 ans : J'ai toujours trouvé le monde injuste. Mais eux ce sont les pires : les enfants, âmes corrompus ; je ne les ai jamais trouvé innocentes et pures, comme le disaient certains. Pourtant, tout le monde les aiment.

10 ans : Les enfants sont cruels, mais parce qu’ils sont petits, on leur pardonne. Et moi ? Je suis petit aussi. Mais moi, on m’abandonne. Un jour, je serais grand, et je leur montrerai. Pour l’instant j’endure mais la roue finit toujours par tourner, je le sais, j'en suis sûr. Je changerais. Il le faut. Un jour, ils verront. Ils verront, eux, ceux que je hais, ceux que je déteste. Oui, tous. Et moi, je ne pardonnerais pas. Jamais. Je ne suis pas niais. Je le sais, je le sens, que tous les jours, ils se moquent de moi. Ils m’insultent, ils m’humilient. Et sans rien dire, je supporte. Ça les fait bien rire, et à moi aussi. Si jeunes, mais déjà bourreaux, se délectant de la souffrance des autres. Et surtout de la mienne. Mais un jour, je serai fort. Un jour, je serai beau. Un jour, ils m’aimeront. Oui, un jour, tout changera. Et ça sera trop tard. Pour l'instant, j'attends mon heure. Et j’observe, entretenant ma haine. Quoi donc ? La bêtise humaine, songeant au futur. On m'a dit que c'était la jungle dehors. On m'a dit que soit tu es faible, soit tu es fort, que soit tu gagnes, soit tu perds. Mais je sais que tout cela est éphémère. Aujourd'hui, ils sont stars de la cour de récré, playboys des bacs à sable, mais demain sera un autre jour. Tous, ils oublient que le temps passe, et qu'à un autre lendemain, ils ne seront plus personne.

16 ans : Le temps est passé, les choses ont changé. Je suis fort et beau. Ils m’aiment, ils m’admirent, ils me jalousent, ils me respectent. Mais moi je les méprise, tous. Visiblement, ils ont la mémoire bien courte. Moi pas, dommage. En effet, je n’ai pas oublié l'enfer de mes 10 ans ; je n’ai pas pardonné leur cruauté. Tout ce que je sais, c'est que jamais je ne les aimerais. Cependant, en me voyant seul, toujours, on me dit de laisser tomber, de me familiariser. C'est trop dur ; je dois vivre avec mes blessures, cela me permet de ne pas devenir complètement fou. Mais personne ne le comprend. Au lycée, dans les rues, tout le temps, on me trouve inaccessible. Sont-ils donc tous débiles ? C'est faux, je me protège juste d'eux. Eux, les créatures versatiles à la suite du plus fort. Cependant, aujourd'hui, le plus fort, c’est moi mais je n’en profite même pas ; je me contente de vivre dans ma bulle, loin de la médiocrité du monde. Parfois, je vois des enfants, ils se mettent à tous contre un. Et celui qui reste seul a quelque chose dans le regard, comme une volonté de grandir, vite, plus vite que les autres. Je ne bronche jamais, les regardant toujours. Ce gosse est un bouc-émissaire, comme moi, comme d'autres avant lui, et comme probablement d'autres après lui. Finalement, le monde était bien fait. Ou peut-être pas. Il y a aussi eux, ceux que je hais aussi bien que j'adore. Ceux qui m'ont gâché la vie, ceux qui m'ont déçu... Ceux qui m'ont détruit, petit à petit.

C'était mes parents mais c'était aussi mon pire cauchemar.
Maman. Ton plus grand rêve était la liberté ; c'est pour ça que tu aimais tant les avions, voler dans le ciel comme un oiseau... Être libre. Et moi, peut-être que j’entravais cette liberté. Alors, pourquoi m’as-tu fait venir au monde ? Tu ne venais jamais me voir. Je me pose tellement de questions auxquelles tu n'en as rien a fiche. M’as-tu seulement aimé un jour, une heure, une minute ? Ou n’étais-je qu’une entrave à tes projets ? Et toi, papa. Ton plus grand rêve était de briller ; c'est pour ça que tu es devenu pilote. Un métier qui impressionne, une belle carrière : la réussite. Moi je ne souhaitais qu’une chose : qu'un jour tu te souviennes que j’existe et que tu sois fier de moi. Que tu me regarde avec les yeux d’un père au lieu de préférer tes maudits avions. À cause de cela, je n’ai peur que d’une chose, moi, le grand insensible, le cœur de pierre, l'homme infléchi : les avions. Je n’y ai jamais mis les pieds pourtant, mais ils sont la cause de votre absence, parce que vous les aimiez plus que moi. Pendant que vous profitiez du ciel, moi j’étais seul. Tous les jours j’attendais. Un coup de fil, une lettre et peut-être même une visite... Je crois bien que c’est ce que je désirais le plus au monde. Je m'en fichais des cadeaux, je m'en fichais de l'argent. Tout ce que je voulais, tout ce que je désirais, mon seul souhait, mon seul voeux : c'était de ne plus jamais être seul le jour de mon anniversaire, le jour de Noël... Ou tout simplement, tous les jours. J’ai tellement attendu que vous passiez cette maudite porte ! Putain de merde, ce que je voulais vous voir, tous les deux ! Savez-vous combien de nuits j'ai dû veiller, dans l'espoir de ne jamais vous rater si vous passiez ? J'avais beau prié, ce n'est jamais arrivé. Vous m’avez simplement abandonné. Et le jour où j’ai reçu cette lettre d’émancipation, j’ai perdu mes dernières illusions. J’ai compris que jamais je ne vous reverrais. Pourtant, je ne demandais pas la lune. Mon seul désir était de me sentir aimé, que vous soyez là pour moi comme des parents pour leur fils. Était-ce trop demander ? Si vous saviez comme je vous en veux. 

19 ans : Et le temps passe, et la tristesse n’a pas diminué. Je vous en veux tellement. Au fond,  je n’étais qu’une charge pour vous et vous m’avez condamné à ma solitude. Je n’ai pourtant pas demandé à naitre. Alors... Pourquoi est-ce à moi de payer pour vos erreurs ? Parce que j’en suis forcément une, sinon vous ne seriez pas partis. Pourquoi c’est toujours aux enfants de payer pour les grands ? C’est trop facile. J'étais une étoile invisible. La petite étoile qui s’éteint et qui, petit à petit, voit sa lumière lumière décliner. De plus en plus, comme elle, je me noyais dans le chagrin. Parce qu’en moi, plus rien ne s’illuminait. J'ai toujours eu de la peine parce que vous ne me voyez pas, mais mon amour me freine, alors je ne vous disais rien. Pourtant, j'hurlais à l’intérieur. Je criais, sans cesse, je clamais : Je suis là, regardez-moi ! Mais vous restiez toujours dans les cieux, inaccessibles, laissant les abysses m'engloutirent. Et chaque jour se brisait mon cœur, parce que vous ne m'entendiez pas. Parfois, j'essayais de vous parler. Mais aussitôt, je me désolais ; c'était la même chose à chaque fois : vous me coupiez la parole. Est-ce à cause de ma toute petite voix ? Est-ce parce que je voulais trop exister pour vous, que je n'arrivais pas à vous en vouloir quand vous me disiez que vous ne pouviez pas me parler ? Chaque fois, chaque jour, la petite étoile que j'étais se noyais. Comment avancer en souriant ? Trop difficile, j'étais constamment délaissé et je me sentais chaque jour un peu plus fragile. J'ai essayé, vraiment, à créer des souvenirs avec vous. J'avais commencé mes études, j'ai eu mon brevet, mon bac, j'ai travaillé, encore et encore. Pour tenter de m'exprimer autrement, de vous plaire autrement. Mais une nouvelle fois, vous m'aviez ignoré. Haha, c'est con mais je me sentais de plus en plus minable... Et triste. Tellement triste. J'ai finis par me sentir coupable, tellement que je suis débile. Un pauvre con, vraiment. Mais malheureusement, j'en venais à me demander pourquoi j'existais. Et c'est toujours le cas. Mais désormais, je ris. Je ris devant une vielle farce que m'a apprit le temps : la vie va et vient, elle donne et reprend, un bonheur pour un malheur. Et aujourd'hui, c’était votre tour d’en faire les frais.

20 ans : C'est cet avion si cher à vos yeux qui vous a conduit à votre perte. J'étais pourtant chez moi, à ne rien demander, dans mon coin, quand on m'a appelé. J'avais eu l'espoir d'un aveugle et l'espérance d'un sourd, comme si rien ne s'était passé : mais ce n'était pas vous. Encore. Cependant, on m'a demandé d'allumer ma télé. Quand j’ai entendu les informations, j’ai eu du mal à le croire. C’était pourtant vrai. Un crash, pas de survivants. C’est triste à dire, mais je crois que je n’ai même pas eu de peine. Parce qu’au fond, qu’est ce que ça change pour moi ? Je ne suis pas votre fils. Oh, de sang, peut-être. Mais pas de cœur ; vous n’êtes pas ma famille et vous ne l’avez jamais été. Désormais, j'espère encore. Quoi donc ? J’espère qu’au moins une fois dans votre vie, vous aurez eu des regrets. J’espère juste que je vous ai manqué quelque fois. Vous, vous m’avez manqué tous les jours de ma vie. Mais c’est terminé maintenant ; je ne serais plus jamais triste pour vous. Et si un jour je deviens père, je ferais tout pour qu’il ne grandisse pas comme moi. Je ferais tout pour qu’il ne soit pas seul... Et surtout, je ferais tout pour qu’il ne regrette pas d’être né. Absolument tout.

21 ans : Je suis un adulte. Peut-être seul, qu'importe. Je suis un adulte. Je continue les études pour être aussi brillant que toi, Papa, mais jamais je ne négligerai ce qui compte pour moi. Jamais. Malheureusement, je n'ai pas votre argent, vous qui m'avez renié de votre testament. Je suis donc seul au monde, face à la pauvreté, comme toujours. J'aurai vraiment aimé être choyé, être comme X ou Y, être quelqu'un d'autre. Mais ce n'est pas le cas. Alors, j'essaye de travailler pour réussir mes études, pour devenir quelqu'un d'aussi important que vous. J'enchaîne boulot sur boulot, tous aussi ridicules les uns que les autres. Je n'ai jamais le temps de dormir, toujours dans mes révisions, dans mon taff : mon âme se voue entièrement aux études. Cependant, j'ai été renvoyé hier. Alors, aujourd'hui, j'ai essayé de trouver un autre travail, sans me casser encore plus la tête afin de payer ce qui me reste d'années. Et demain, je serais là-bas, dans un autre monde mais toujours dans ma bulle. Sainte-Croix, tu es belle ; fais de moi un grand homme. 

Aujourd'hui, qui suis-je ?
Je suis une étoile qui tout d’abord scintille, puis mon éclat se voile et c'est de gris que je m'habille. La lumière de cette constellation est tellement belle, tellement belle que de partout elle brille. Mais l’âme humaine est trop cruelle. Et doucement, la flamme vacille. Envahie par le désarroi, la petite étoile décline. Étouffée par trop d’indifférence, doucement elle s’incline et tire sa révérence. Emportée par son chagrin, une petite étoile s’éteint. Je suis cette petite étoile déchue, reniée par les siens, exilée du ciel et condamnée à vivre seule. Si seulement j'avais pu vous manquer. Vous, je vous le redis, vous m'avez manqué tous les jours, à chaque instant de ma vie. Encore une fois, je rigole devant mes paroles. Et puis, quelle ironie. Je crois que je ne vous aurais jamais autant parlé qu’aujourd’hui, devant votre tombe. Il a fallu que vous quittiez ce monde pour que je puisse vous voir. Soit, je vous laisse, je ne reviendrais pas. Une nouvelle vie m'attend, sans vous, encore une fois. Mais cette fois-ci, je n'aurais aucun espoir et aucun regret à avancer. 


Je vous le dis une dernière fois, 
Un message d'adieu, 
Neuf petits mots,
Trente et une lettres :
Je vous hais. 
Je vous aime.
Rest in peace
.


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C'est quoi ton nom ? Dyeu, ou le DCey de Dyeu.
Tu peux nous dire ton âge ? Le même âge que ta mère quand elle avait mon âge.
Comment t'as connu le forum ? C'est l'autre [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] qui me l'a fait connaître, patate. 
T'as lu le règlement ? Va mourir. J'ai faim. 
T'aimes les grenouilles ? PATATE.
Autre chose mon chou ? PATATE.


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