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 Fiche Splendid

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Eileen Hers
Eileen Hers
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Age : 31
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MessageSujet: Fiche Splendid    Fiche Splendid  EmptyVen 28 Juin - 23:01

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Nom : Knowvaski.
Prénom(s) : Splendid Olympe.
Âge : Dix-neuf ans.
Date d'anniversaire : Vingt et un décembre.
Origine : Suisse germanique ▬ Schwyz.
Sexe & Orientation: Féminin, biatch ▬ Hétérosexuelle.
Année d'étude : 8ème année.
Groupe : Dreamers.

[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
Splendid.
Rien ne la retient auprès de nous et pourtant, elle reste inébranlable, se contenant d'esquisser un sourire narquois. Indépendante ? Non. Juste irréfléchie. Splendid demeure insensible à la valeur de votre conseil. Ce n'est pas contre vous, loin de là ; c'est juste que mademoiselle ne porte aucune réelle attention aux choses ou personnes qui ne l'intéressent pas plus que cela. Certes, chaque individus est sans doute différant ainsi que doté d'une personnalité qu'il fait qu'il est unique mais si vous ne rentriez pas dans les critères de l'albinos : direction la porte. Certains disent qu'elle est trop « j'm'en-foutisme » mais il ne faut pas confondre les deux termes. En soit, elle n'importe réellement aucune importance aux conséquences que ses actes ou dires peuvent engendrer. En fait, elle n'a pas du tout la notion du danger. Et du danger il y en a partout, la connaissant. Une vraie merde, une vraie source à problèmes. Elle attire les ennuis jusqu'à elle comme un véritable aimant. On pouvait ainsi dire, ironiquement bien sûr, que c'était là son seul don. Pourtant, elle ne le faisait vraiment pas exprès... Sauf quand elle provoque de son propre derechef les courroux d'autrui. Donc, on pourrait également la qualifier de malchanceuse. Effectivement, Fortune n'a jamais été de son côté et, irréversiblement, les pires malheurs n'arrivent qu'à elle. Tomber dans les escaliers ? Une pluie torrentielle alors qu'une canicule régnait dans le ciel ? Un haut déchiré ? Des plats fracassés au sol ? Pourquoi pas. Autrefois, on disait que c'était à cause de ses yeux écarlates. Effrayants. Tellement terrifiants, ils tétanisaient tout le monde. Personne n'aimait les pigments de ses iris écarlates. C'était pourtant une si belle couleur. Le sang. Un doux pourpre. Mais aucun individu n'est apte à regarder la beauté du monde. Alors, Splendid se contentait de se taire, se soumettant aux affabulations de son entourage. Ses anciens camarades la qualifiaient d'enfant maudite. Ils étaient débiles, tous. Mais personne ne voulait écouter les justifications de la fillette et, inéluctablement, on la fuyait. Splendid est une personne lépreuse. Elle a certes du charme, une personnalité qui ravive et qui attire, mais la demoiselle fait fuir les gens. Ils détalent tous tels des lièvres devant elle. Alors, peut-être était-ce pour cela qu'elle s'était renfermée sur elle-même, devenant une brute. Une dure. Une infléchie. Quelle ironie. À l'origine, l'immaculée est juste maladroite, tête en l'air, complètement imprudente, ne mesurant pas l'impact de ses dires ou de ses gestes, se fichant catégoriquement du moindre danger qui s'exhibe pourtant devant elle de manière flagrante. Elle ne se soucie guère d'elle, se catégorisant au second-plan, mettant sa fierté au-delà de sa propre santé. Préférant alors nettement se battre plutôt que d'être tendre envers quiconque, elle nous explose au visage d'une seconde à l'autre, étant plutôt très successible. L'opposée d'un élève blasé ? Elle, sans doute. L'oxymore d'un je-m'en-foutiste ? Encore elle. Elle part au quart de tour, semblant toujours en colère. Elle râle sans cesse, n'hésitant pas à plomber une ambiance chaleureuse. Râleuse, et alors, vous dira-t-elle. C'est une demoiselle qui est portée à protester de façon hargneuse. En effet, elle ne peut s'empêcher de beugler sur tous les toits et péter des câbles quand la situation n'est pas à son avantage. Quand elle se met à râler, elle devient même vulgaire, de temps en temps, si la tournure des événements ne lui plaît vraiment pas. Ainsi, c'est drôle de la voir énervée, quelque fois. Alors oui, elle peut paraître... Susceptible ? En effet, toujours, elle ne peut s'empêcher de se vexer si on lui fait une quelconque remarque : même le plus touchant des compliments lui fera piquer un fard. Splendid est comme ça. Elle ne supporte pas que l'on soit adorable avec elle... Parce qu'elle a peur, tout simplement. La pauvre, il faut la comprendre, mieux l'analyser : elle craint constamment qu'on la délaisse brusquement, qu'on profite de ses faiblesses, qu'on lui grappille doucement pour ensuite lui faire un coup bas. Et c'est pour cela qu'elle a peur de s'attacher aux autres. Elle est paranoïaque. Au fond d'elle, ce n'est encore qu'une gamine qui a peur des fantômes, des maisons hantées et de la pénombre. Et, comme un gosse, elle peut aussi paraître enfantin, presque attentionnée. Personne ne dirait que c'est une élève persévérante et pleine d'attention. Pourtant, aussi étrange que cela puisse être, surtout au vu de ses innombrables défauts, l'adolescente sait se montrer affective aux êtres qu'elle qualifie de mignons ou d'adorables. En effet, si elle n'était pas aussi brusque et obstinée, elle aurait été une jeune fille très câline à fréquenter. Enfin, si on passait en outrance le fait qu'elle soit un dictateur légèrement tyrannique, elle pouvait paraître pour la plus innocente des fillettes. Malgré elle, malgré tous ses efforts : Splendid restera à jamais une personne extrêmement sensible. Elle éprouve de la compassion quand il faut et ses larmes ne cessent de tracer leur chemin le long de ses joues quand on lui narre un récit mélodramatique sur la mort d'untel. Elle se trouve faible : mais certains voient cela comme une qualité, surtout qu'être être insensible pour elle, ça n'aurait rien donné de logique. Ou pas...

N'oublions pas qu'une brute reste une brute et ce, même si elle peut être tendre avec ses rares, voire inexistants, amis. Ce petit ange peut véritablement devenir incontrôlable avec les enfants. Elle les déteste. Elle les exècre tous, encore plus que les adultes avec qui elle ne garantit pourtant pas de bonne relation. C'est parce qu'ils la font chier qu'elle exprime extraordinairement bien sa haine à leur égard, n'hésitant pas à cracher sur leur idée sordide, leur rêve dérisoire et être cruelle avec eux n'est qu'un passe-temps de plus. Alors oui, elle se moque d'eux, devant un public ou non, elle les nargue comme bon lui semble et leur fait vivre un véritable enfer si jamais elle a le temps. Elle adore martyriser l'autrui et éprouve un plaisir malsain de les voir triste, allant jusqu'à provoquer en toute connaissance de cause des problèmes. Ne pleurons donc pas devant elle, elle aggravera la situation. S'il y a une bagarre, elle se battra. Si quelqu'un la provoque, cette personne sera au pire des cas relayées au dernier plan. Et, logiquement, elle demeure farouche et têtue. En effet, elle est excessivement attachée à ses opinions. On l'a dit obstinée pour cela et à vrai dire, ce n'est plus un secret pour personne. Pourtant, cette facette, bon nombre de personnes l'ignorent, soit parce que la jeune femme met en évidence d'autres traits de caractères, soit parce qu'ils n'ont jamais réellement fait un débat avec elle. Lâcher l'affaire ? Jamais ! Même si elle a tort, Splendid voudra à tout prix avoir raison sur tout. Elle ne cessera de mordre quiconque estimera avoir plus raison qu'elle. Ce n'est même pas la peine d'échanger vos opinions avec elle : bonjour l'indifférence. Ce qui l'horripile ? Qu'on l'ignore ; elle préfère quand les choses sont effectuées sans problèmes. Donc, le moindre signe d'indépendance ou de résistance risque, en effet, de la contrarier, surtout quand la demoiselle est persuadée que ses idéaux sont une vérité absolue. Enfin, de toute manière, peu de personne découvre cette manie qu'elle possède de ne jamais se soumettre à la solde d'un ordre... Pourquoi ? Parce qu'elle passe généralement son chemin quand cela arrive, n'hésitant pas à foutre des vents comme bon lui semble. 

Il y a aussi les potins.
Certains racontent que c'est pour alter-égo qu'elle paraît aussi hautaine en notre présence : mais Splendid n'est pas égocentrique, juste réaliste (même si cela donne plutôt l'impression qu'elle l'est, en fait). Elle ne se considère pas au-dessus de tous : ce sont eux qui se croient inférieurs à elle. Pourtant, elle n'a rien demandé. Juste, assise dans son coin, elle observe les gens. Chaque mouvement, chaque pigment ; elle ne fait qu'analyser la vie. Pourquoi ne la vit-elle pas ? Bonne question. Splendid aime pourtant se mettre en avant, toujours à clamer plus fort qu'un autre pour se faire entendre. Toujours à exhiber les plus chiantes calamités, ceux qui énervent mais que tous pensent tout bas, ceux qui horripilent mais qui laissent patois, ceux qui donnent une irréfutable envie de la frapper, de la ruer de coups : mais rien n'y fait, Splendid est comme l'eau ; elle nous échappe. Elle est semblable au tempête calme, à l'eau qui s'éveille, sortant de sa léthargie, dérangée par les fantasques boursouflements du vent. L'eau, berceau de la vie. Violente et douce à la fois. Elle noie, elle sauve, elle engloutit, elle berce. Splendid est comme l'eau, aussi insaisissable qu'elle. On a beau la prendre dans ses mains, elle glisse, elle s'échappe, inévitablement. Elle se glisse en travers de nos paroles, de nos gestes, et ne laisse personne la dompter. C'est un ruisseau calme où s'abreuver troublerait la surface de cette liqueur, provoquant une mer déchaînée. Aussi bleu que la couleur opposée à ses prunelles, ces vagues se déferlent sur nous, comme si elle nous obligeait à nous plier sous son autorité. Alors, elle aura beau être une enfant sauvage, parfois, on la respecte et on se plaît à fléchir sous sa volonté, exauçant ses veaux et ses caprices fugaces. Préférant valoriser ses défauts à ses qualités, peut-être n'aimait-elle pas qu'on soit fiers d'elle car elle n'attendait plus rien de personne... Ou le contraire ? Elle ignore, ignore, mais continue d'être d'une humeur exécrable avec autrui et ce, même si intérieurement, elle est parfois tout à fait en contradiction avec elle-même. Normalement timide dans un autre monde, tout le monde aurait pu dire qu'elle était extrêmement câline, même trop affectueuse. Seulement, l'albinos s'estimera trop faible. Beaucoup trop. Alors, quand elle s'exprime, ce ne sont plus des proses poétiques qui franchissent ses lèvres, s'élevant au-delà de ses murmures, mais bel et bien des injures, grotesques peut-être, mais qui s'en soucis ? C'est une enfant turbulente qui doit inéluctablement taper sur les nerfs de son entourage, même d'inconnus, et ce, tout le temps. En apparence, peut-être semblait-elle calme ? Et peut-être l'avait-on décrite comme une personne au caractère « posé et réfléchi », à la vue de sa mine enjouée ? Mais ce n'est pas le cas.

Opportuniste. L'adolescente acquiert une attitude qui consiste à régler sa conduite selon les circonstances du moment, qu'elle cherche à toujours utiliser aux mieux de ses intérêts. Même si la demoiselle est imprudente, elle n'hésite pas à chercher le moindre petit avantage dans les pires circonstances pour sa propre cabeza. Elle tire profit du partie qu'elle pense meilleur pour satisfaire ses besoins personnels. Elle préfère inévitablement profiter de ce qui s'offre à elle sans s'occuper de ses principes moraux. Et si personne n'a jamais pensé que la jeune fille est malicieuse, c'est que le monde est aveugle. Splendid est quelqu'un d'espiègle et de narquois, qui n'hésite pas à se moquer d'autrui en se jouant de leur crédulité quand elle le souhaite. C'est une personne rusée qui est aussi intelligente que fourbe et préfère user de ses talents de comédienne pour sortir d'une impasse plutôt que de se salir les mains aussi bêtement. Elle est parfois malhonnête et le sait très bien ; mais qui n'a jamais fait preuve d'ironie dans sa vie ? C'est en tout cas ce qu'elle se dit, pour apaiser sa conscience. L'albinos déprime aussi la plupart du temps, la majorité même, n'hésitant pas à aller se bourrer la gueule en rentrant complètement éméchée dans sa chambre, ayant sans aucun doute enfreint le couvre-feu depuis des lustres. Elle rend aussi les gens maussades et visite souvent le psyché du psychologue du coin, ou un vieux qu'elle recueille chez elle pour lui débiter sa vie monotone, semblant complètement vouloir se suicider. Et c'est vraiment le cas. Malgré que tout le monde croit que c'est à cause de ses innombrables bagarre, la jeune fille ne pourra les mentir si elle devait affirmer qu'elle s'était en fait mutilée, gardant une vieille cicatrice sur sa joue. Mais elle ne se souvient de rien. Absolument rien. Quand est-ce qu'elle s'était faite ça ? Mystère et boules de gomme. À l'heure qu'il est, elle a une nette préférence pour ce qui est d'agir au feeling, comme si chaque secondes, minutes ou heures était sa dernière. C'est dans ce style de survis qu'elle aspire à être et qu'elle s'amuse. Disons tout simplement qu'elle idolâtre les sensations extrêmes comme les soirées de sobriété, les manèges horripilants ou bien les loopings incertains. Sentir le vent à travers les pores de sa peau comme si elle pouvait voler et ne plus jamais revenir ; c'est une des sensations qu'elle n'oublierait sans doute jamais.


Pour conclure, Splendid, c'est Splendid. C'est une gamine chiante, peureuse, paranoïaque, irréfléchie, imprudente, antisociale, susceptible, péjorative, névrosée mais qui reste toutefois gaie. Elle n'aime pas l'Humanité, mais ce qu'elle produit. Elle ne se demande pas pourquoi untel existe, mais plutôt à quoi il lui servirait. Un enfoiré ? Dire le contraire serait mentir.
Depuis combien de temps ton personnage est-il ici ?
Mademoiselle Knowvaski demeure présente ici dès l'année de ses quatorze ans. Une habituée ? Certainement.

Quelle relation ton personnage entretient avec les élèves ?
Elle ne les aime pas. Ils la détestent. Est-ce assez concis ? Personne n'apprécie la tornade immaculée qu'elle est et c'est tout à fait à leur honneur : elle ne fait absolument rien pour paraître un peu plus sympathique à l'égard de ses camarades. En effet, certains la trouvent trop chiante, trop impulsive, trop bavarde, trop vulgaire, trop puérile, trop susceptible, trop, trop, trop. En bref, toute sa mauvaise personne a l'air de ressortir de façon... Extraordinairement bien multipliée par dix. Parfois, quand elle déprime (même si elle le fait quasiment toujours), ils ont généralement peur d'elle : son humour sarcastique et sa vision du monde péjorative les font tous fuir. Au fond, elle s'ennuie évidement à mourir, seule, dans son coin. Donc, si elle taquine quelques personnes, c'est certainement pour s'occuper. Ni plus, ni moins. Des jouets, dites-vous ? Que nenni !

Quelle relation ton personnage entretient avec l'équipe de l'école ?
Les conflits entre le corps enseignant et Splendid... Une merveilleuse histoire d'amour, vraiment. De son côté, elle trouve qu'ils la considèrent comme une gamine et. ELLE. DÉTESTE. CELA. ELLE A DIX-NEUF ANS, MERDE ! Djjkfakdaekdea. Donc, évidement, n'aimant pas du tout les enfants, finir comparée à son pire ennemi est tout simplement... Abhorrant. Donc, elle leur fait bouffer les pissenlits par la racine, à ces adultes qu'elle estime comme de simple... Boucs-émissaires. Ah oui, autant faire souffrir son professeur de science sociale, tant qu'on y est. Plaît-il ?

Quelle est le niveau d'étude de ton personnage ?
Eh bien, là, on pourrait avouer que l'on ignore complètement son niveau d'étude. En effet, séchant la quasi totalité de ses cours, on ne pouvait pas affirmer que son bulletin scolaire était... Remplie convenablement. Après tout, comment obtenir la meilleure note quand on n'a pas du tout fait l'examen en question ? C'est complètement impossible, pardi !  

En quoi votre personnage a-t-il été un délinquant
Splendid a peut-être honte de cela ou elle a complètement oublié ses pêches antérieurs, mais ses exploits ne sont pas véritablement une pierre à ajouter à l'édifice. D'ailleurs, son seul crime était peut-être d'avoir aimé. L'amour. Sentiment apparemment affectif, mais qui conduit irréversiblement dans les méandres de l'abysse. Elle avait quatorze ans. Elle était jeune, elle était féminine, elle avait absolument tout pour plaire : ou pas. Elle était trop timide, la pauvre. Et cacher ses rougeurs avec une peau aussi claire en compagnie d'une chevelure complètement immaculée n'était absolument pas une chose aisée ; au contraire, si elle arrivait à paraître complètement assurée auprès de ses camarades, cela serait, il en va de soit, un véritable miracle. Mais soit, passons. Elle était jeune. Elle croyait en l'amour, à toutes ces choses niaises qu'on débitait à la télé, aux promesses, aux parjures : elle était complètement crédule. Et la naïveté n'est pas une qualité, surtout quand on tombe sur lui. Lui, il avait les mots. Il avait les gestes, les paroles rassurantes, les sourires ravivants. Il avait aussi happé son cœur, sa volonté, tout son être. Elle aurait tout fait pour lui. Absolument tout. Et parce qu'il avait les mots, il réussissait à te convaincre de faire des actes immondes, à sombrer avec lui dans la déchéance. En effet, plus elle le fréquentait, plus son amour croissait, et plus elle dérivait. Un monde de luxure s'était dévoilé sous ses prunelles. Chaleureux, accueillant, austère, effrayant ; il avait pourtant tout pour lui plaire. Alors, elle avait aveuglément exhausser tous ses souhaits, le moindre de ses caprices. Pourquoi ? Parce qu'elle ne désirait que réaliser ses plus singulières perversités. Il était le diable. Elle, un ange déchu. Mais tout ça, elle ne le savait guère. Un jour, il l'avait appelée. Heureuse, épanouie, l'âme d'une amante germinale, elle s'était rendue au lieu indiqué. Celui qu'il l'avait indiquée. Mais un problème : il n'y avait personne. Enfin, personne qu'elle ne connaissait ; même pas lui. Un homme se retourne vers elle. À son apparence de brute juvénile, elle a pouffé... Elle n'aurait pas dû car il lui demande l'argent. Ignorante, douce idiote, elle n'avait pas assimilé. Quel argent ? De quoi parlait-il ? Ses questions avaient été exhibées, le garçon, a représenté sa colère par un froncement de sourcils. Il lui explique tout. Tout. Même la vraie nature de son petit-ami. Elle n'a pas osé le croire : impossible, impossible. Il était quelqu'un de très attentionné. Oui, cet homme ment assurément. Mais les produits illicites prouvent le contraire : il était un dealer. Un arnaqueur. Un mécréant. Puis, la police. Pourquoi ? Chez elle, dans sa chambre, de la drogue : vous voyez le topo ? Aller hop, au commissariat, petite albinos. Toutes les preuves l'accablent ? Qu'importe. Elle l'aime trop. Elle fera tout pour lui. Alors, quand il lui a demandé de dire qu'il n'avait rien à voir dedans, elle avait obéi. Soumise. Et sa fierté ? Disons qu'elle n'en avait encore pas du tout. Jugée, condamnée, elle finit par vouloir se suicider quand son amour ne venait pas. Elle réussit presque. Presque. On l'a arrêtée. Ses parents l'ont exilée. Sol Falena ? Sainte-Croix ? Assurément. Au revoir, ancienne petite Splendid. Avant de tout oublier, elle s'était une nouvelle fois demandée comment. Comment elle avait fait pour être aussi naïve ? Aussi aveugle ? La réponse, elle la connait pourtant très bien : Il avait les mots. Il était le renard, elle, le corbeau.

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● Lettre à un anonyme, retrouvé par-ci, et par-là, dans son journal intime ; Splendid.
Citation :
Je ne suis pas un ange et tant pis si ça te dérange, je m'en fous d'être étrange. Tant pis pour la raison, je vis pour le frison. Je me file, je me défile, toujours sur le fil. Comme un funambule, je m'enferme dans ma bulle. Et je fuis. Sans cesse, je m'enfuis. Je rêve d'enfer, de tant de chimères, de bonheurs éphémères. Lentement, ça me délivre, et j'ai enfin l'impression de vivre. Je sais que ces moments ne sont factices, que mon bonheur n'est qu'artifice, mais grâce à ça, j'oublie mon supplice. Et je survis. Je reste en vie, écoutant le silence de la nuit, il ne cesse de m'inspirer, me permettant de ne pas couler. 

Alors oui, je vis dans le noir, dans un monde illusoire. Je veux le bien qui me fait du mal, il comble mon vide abyssal. Et je cours, tout le temps. Pour moi, rien n'est vraiment important. Je veux de l'interdit, encore et toujours plus, je veux du délit. Et tant pis si ça me détruit. Pas le temps d'être sage, besoin d'exprimer ma rage. 

Suis-je normale ? Non, non, non. 
Je suis folle. Oui, rien qu'une folle. Il me l'a dit. Mais, lui, il a tout fait raté. 


Si tu savais comme je te hais. Si tu savais à quel point je t'exècre.... Mais tu continues d'ignorer cette réalité, n'est-ce pas ? Alors. Rien. Que. Pour. Te. Faire. Chier : j'oublierai tout. Mon ancienne vie. Moi. Et toi. Absolument tout.

Lisez-moi O/:


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C'est quoi ton nom ? Pandore. Ou le DCey de Dyeu.
Tu peux nous dire ton âge ? « J'aime les enfants. »
T'as lu le règlement ? Unknow.
Comment t'as connu le forum ? Etoo.... :psychopathe:
T'aimes les grenouilles ? Vhbcksdfksdlfwjmdoxwd.
Autre chose mon chou ? Mon poussin s'appelle Gilbird. :meurt:


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MessageSujet: Re: Fiche Splendid    Fiche Splendid  EmptyVen 28 Juin - 23:01

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[b]Prénom(s) [/b]: Splendid Olympe.
[b]Âge [/b]: Dix-neuf ans.
[b]Date d'anniversaire [/b]: Vingt et un décembre.
[b]Origine [/b]: Suisse germanique ▬ Schwyz.
[b]Sexe & Orientation[/b]: Féminin, biatch ▬ Hétérosexuelle.</td><td align="left">[b]Année d'étude[/b] : 8ème année.
[b]Groupe [/b]: Dreamers.</td></tr></table>

<table border="0"><tr><td align="left"><img src="http://www.pixenli.com/images/1368/1368472779013015100.png" border="0" alt="" /> </td><td align="left"> <img src="http://www.pixenli.com/images/1368/1368472745059248800.png" border="0" alt="" /></td></tr></table><table border="0"><tr><td align="left"> <div style="margin:5px; width: 190px; font-size:10px; text-align:justify; background: #FFF0F0; padding:10px; border: #C1374E  solid  2px; -moz-border-radius: 10px; -webkit-border-radius: 10px; border-radius: 10px; box-shadow: 0px 0px 0px Black;"><div style="width:100%;height:220px;overflow:auto;">[b]Splendid.[/b]
Rien ne la retient auprès de nous et pourtant, elle reste inébranlable, se contenant d'esquisser un sourire narquois. Indépendante ? Non. Juste [b]irréfléchie. Splendid demeure insensible à la valeur de votre conseil.[/b] Ce n'est pas contre vous, loin de là ; c'est juste que mademoiselle ne porte aucune réelle attention aux choses ou personnes qui ne l'intéressent pas plus que cela. Certes, chaque individus est sans doute différant ainsi que doté d'une personnalité qu'il fait qu'il est unique mais si vous ne rentriez pas dans les critères de l'albinos : direction la porte. Certains disent qu'elle est trop « j'm'en-foutisme » mais il ne faut pas confondre les deux termes. En soit, elle n'importe réellement aucune importance aux conséquences que ses actes ou dires peuvent engendrer. En fait, elle n'a pas du tout la notion du danger. Et du danger il y en a partout, la connaissant. Une vraie merde, une vraie source à problèmes. Elle attire les ennuis jusqu'à elle comme un véritable aimant. On pouvait ainsi dire, ironiquement bien sûr, que c'était là son seul don. Pourtant, elle ne le faisait vraiment pas exprès... Sauf quand elle provoque de son propre derechef les courroux d'autrui. Donc, on pourrait également la qualifier de [b]malchanceuse[/b]. Effectivement, Fortune n'a jamais été de son côté et, irréversiblement, les pires malheurs n'arrivent qu'à elle. Tomber dans les escaliers ? Une pluie torrentielle alors qu'une canicule régnait dans le ciel ? Un haut déchiré ? Des plats fracassés au sol ? Pourquoi pas. Autrefois, on disait que c'était à cause de ses yeux écarlates. Effrayants. Tellement terrifiants, ils tétanisaient tout le monde. Personne n'aimait les pigments de ses iris écarlates. C'était pourtant une si belle couleur. Le sang. Un doux pourpre. Mais aucun individu n'est apte à regarder la beauté du monde. Alors, Splendid se contentait de se taire, se soumettant aux affabulations de son entourage. Ses anciens camarades la qualifiaient d'enfant maudite. Ils étaient débiles, tous. Mais personne ne voulait écouter les justifications de la fillette et, inéluctablement, on la fuyait. Splendid est une personne lépreuse. Elle a certes du charme, une personnalité qui ravive et qui attire, mais la demoiselle fait fuir les gens. Ils détalent tous tels des lièvres devant elle. Alors, peut-être était-ce pour cela qu'elle s'était renfermée sur elle-même, devenant une brute. Une dure. Une infléchie. Quelle ironie. À l'origine, l'immaculée est juste [b]maladroite, tête en l'air, complètement imprudente[/b], ne mesurant pas l'impact de ses dires ou de ses gestes, se fichant catégoriquement du moindre danger qui s'exhibe pourtant devant elle de manière flagrante. Elle ne se soucie guère d'elle, se catégorisant au second-plan, mettant sa fierté au-delà de sa propre santé. Préférant alors nettement se battre plutôt que d'être tendre envers quiconque, elle nous explose au visage d'une seconde à l'autre, étant plutôt [b]très successible[/b]. L'opposée d'un élève blasé ? Elle, sans doute. L'oxymore d'un je-m'en-foutiste ? Encore elle. Elle part au quart de tour, semblant toujours en colère. Elle râle sans cesse, n'hésitant pas à plomber une ambiance chaleureuse. [b]Râleuse[/b], et alors, vous dira-t-elle. C'est une demoiselle qui est portée à protester de façon hargneuse. En effet, elle ne peut s'empêcher de beugler sur tous les toits et péter des câbles quand la situation n'est pas à son avantage. Quand elle se met à râler, elle devient même vulgaire, de temps en temps, si la tournure des événements ne lui plaît vraiment pas. Ainsi, c'est drôle de la voir énervée, quelque fois. Alors oui, elle peut paraître... [b]Susceptible[/b] ? En effet, toujours, elle ne peut s'empêcher de se vexer si on lui fait une quelconque remarque : même le plus touchant des compliments lui fera piquer un fard. Splendid est comme ça. Elle ne supporte pas que l'on soit adorable avec elle... Parce qu'elle a peur, tout simplement. La pauvre, il faut la comprendre, mieux l'analyser : elle craint constamment qu'on la délaisse brusquement, qu'on profite de ses faiblesses, qu'on lui grappille doucement pour ensuite lui faire un coup bas. Et c'est pour cela qu'elle a peur de s'attacher aux autres. [b]Elle est paranoïaque.[/b] Au fond d'elle, ce n'est encore qu'une [b]gamine[/b] qui a peur des fantômes, des maisons hantées et de la pénombre. Et, comme un gosse, elle peut aussi paraître enfantin, presque [b]attentionnée[/b]. Personne ne dirait que c'est une élève persévérante et pleine d'attention. Pourtant, aussi étrange que cela puisse être, surtout au vu de ses innombrables défauts, l'adolescente sait se montrer affective aux êtres qu'elle qualifie de mignons ou d'adorables. En effet, si elle n'était pas aussi brusque et obstinée, elle aurait été une jeune fille très câline à fréquenter. Enfin, si on passait en outrance le fait qu'elle soit un dictateur légèrement tyrannique, elle pouvait paraître pour la plus innocente des fillettes. Malgré elle, malgré tous ses efforts : Splendid restera à jamais une personne extrêmement sensible. Elle éprouve de la compassion quand il faut et ses larmes ne cessent de tracer leur chemin le long de ses joues quand on lui narre un récit mélodramatique sur la mort d'untel. Elle se trouve faible : mais certains voient cela comme une qualité, surtout qu'être être insensible pour elle, ça n'aurait rien donné de logique. [i]Ou pas...[/i]

N'oublions pas qu'une brute reste une brute et ce, même si elle peut être tendre avec ses rares, voire inexistants, amis. Ce petit ange peut véritablement devenir incontrôlable avec les enfants. Elle les déteste. Elle les exècre tous, encore plus que les adultes avec qui elle ne garantit pourtant pas de bonne relation. C'est parce qu'ils la font chier qu'elle exprime extraordinairement bien sa haine à leur égard, n'hésitant pas à cracher sur leur idée sordide, leur rêve dérisoire et être cruelle avec eux n'est qu'un passe-temps de plus. Alors oui, elle se moque d'eux, devant un public ou non, elle les nargue comme bon lui semble et leur fait vivre un véritable enfer si jamais elle a le temps. Elle adore martyriser l'autrui et éprouve un plaisir malsain de les voir triste, allant jusqu'à provoquer en toute connaissance de cause des problèmes. Ne pleurons donc pas devant elle, elle aggravera la situation. S'il y a une bagarre, elle se battra. Si quelqu'un la provoque, cette personne sera au pire des cas relayées au dernier plan. Et, logiquement, elle demeure farouche et [b]têtue[/b]. En effet, elle est excessivement attachée à ses opinions. On l'a dit obstinée pour cela et à vrai dire, ce n'est plus un secret pour personne. Pourtant, cette facette, bon nombre de personnes l'ignorent, soit parce que la jeune femme met en évidence d'autres traits de caractères, soit parce qu'ils n'ont jamais réellement fait un débat avec elle. Lâcher l'affaire ? Jamais ! Même si elle a tort, Splendid voudra à tout prix avoir raison sur tout. Elle ne cessera de mordre quiconque estimera avoir plus raison qu'elle. Ce n'est même pas la peine d'échanger vos opinions avec elle : bonjour l'indifférence. Ce qui l'horripile ? Qu'on l'ignore ; elle préfère quand les choses sont effectuées sans problèmes. Donc, le moindre signe d'indépendance ou de résistance risque, en effet, de la contrarier, surtout quand la demoiselle est persuadée que ses idéaux sont une vérité absolue. Enfin, de toute manière, peu de personne découvre cette manie qu'elle possède de ne jamais se soumettre à la solde d'un ordre... Pourquoi ? Parce qu'elle passe généralement son chemin quand cela arrive, n'hésitant pas à foutre des vents comme bon lui semble. 

Il y a aussi les potins.
Certains racontent que c'est pour alter-égo qu'elle paraît aussi [b]hautaine[/b] en notre présence : mais Splendid n'est pas égocentrique, juste [b]réaliste[/b] (même si cela donne plutôt l'impression qu'elle l'est, en fait). Elle ne se considère pas au-dessus de tous : ce sont eux qui se croient inférieurs à elle. Pourtant, elle n'a rien demandé. Juste, assise dans son coin, elle observe les gens. Chaque mouvement, chaque pigment ; elle ne fait qu'analyser la vie. Pourquoi ne la vit-elle pas ? Bonne question. Splendid aime pourtant se mettre en avant, toujours à clamer plus fort qu'un autre pour se faire entendre. Toujours à exhiber les plus chiantes calamités, ceux qui énervent mais que tous pensent tout bas, ceux qui horripilent mais qui laissent patois, ceux qui donnent une irréfutable envie de la frapper, de la ruer de coups : mais rien n'y fait, Splendid est comme l'eau ; elle nous échappe. Elle est semblable au tempête calme, à l'eau qui s'éveille, sortant de sa léthargie, dérangée par les fantasques boursouflements du vent. L'eau, berceau de la vie. Violente et douce à la fois. Elle noie, elle sauve, elle engloutit, elle berce. Splendid est comme l'eau, aussi insaisissable qu'elle. On a beau la prendre dans ses mains, elle glisse, elle s'échappe, inévitablement. Elle se glisse en travers de nos paroles, de nos gestes, et ne laisse personne la dompter. C'est un ruisseau calme où s'abreuver troublerait la surface de cette liqueur, provoquant une mer déchaînée. Aussi bleu que la couleur opposée à ses prunelles, ces vagues se déferlent sur nous, comme si elle nous obligeait à nous plier sous son autorité. Alors, elle aura beau être une enfant sauvage, parfois, on la respecte et on se plaît à fléchir sous sa volonté, exauçant ses veaux et ses caprices fugaces. Préférant valoriser ses défauts à ses qualités, peut-être n'aimait-elle pas qu'on soit fiers d'elle car elle n'attendait plus rien de personne... Ou le contraire ? Elle ignore, ignore, mais continue d'être d'une humeur exécrable avec autrui et ce, même si intérieurement, elle est parfois tout à fait en contradiction avec elle-même. Normalement timide dans un autre monde, tout le monde aurait pu dire qu'elle était extrêmement câline, même trop affectueuse. Seulement, l'albinos s'estimera trop faible. Beaucoup trop. Alors, quand elle s'exprime, ce ne sont plus des proses poétiques qui franchissent ses lèvres, s'élevant au-delà de ses murmures, mais bel et bien des injures, grotesques peut-être, mais qui s'en soucis ? C'est une enfant turbulente qui doit inéluctablement taper sur les nerfs de son entourage, même d'inconnus, et ce, tout le temps. En apparence, peut-être semblait-elle calme ? Et peut-être l'avait-on décrite comme une personne au caractère « posé et réfléchi », à la vue de sa mine enjouée ? Mais ce n'est pas le cas.

[b]Opportuniste[/b]. L'adolescente acquiert une attitude qui consiste à régler sa conduite selon les circonstances du moment, qu'elle cherche à toujours utiliser aux mieux de ses intérêts. Même si la demoiselle est imprudente, elle n'hésite pas à chercher le moindre petit avantage dans les pires circonstances pour sa propre cabeza. Elle tire profit du partie qu'elle pense meilleur pour satisfaire ses besoins personnels. Elle préfère inévitablement profiter de ce qui s'offre à elle sans s'occuper de ses principes moraux. Et si personne n'a jamais pensé que la jeune fille est malicieuse, c'est que le monde est aveugle. Splendid est quelqu'un d'espiègle et de narquois, qui n'hésite pas à se moquer d'autrui en se jouant de leur crédulité quand elle le souhaite. C'est une personne rusée qui est aussi intelligente que fourbe et préfère user de ses talents de comédienne pour sortir d'une impasse plutôt que de se salir les mains aussi bêtement. Elle est parfois malhonnête et le sait très bien ; mais qui n'a jamais fait preuve d'ironie dans sa vie ? C'est en tout cas ce qu'elle se dit, pour apaiser sa conscience. L'albinos déprime aussi la plupart du temps, la majorité même, n'hésitant pas à aller se bourrer la gueule en rentrant complètement éméchée dans sa chambre, ayant sans aucun doute enfreint le couvre-feu depuis des lustres. Elle rend aussi les gens maussades et visite souvent le psyché du psychologue du coin, ou un vieux qu'elle recueille chez elle pour lui débiter sa vie monotone, semblant complètement vouloir se suicider. Et c'est vraiment le cas. Malgré que tout le monde croit que c'est à cause de ses innombrables bagarre, la jeune fille ne pourra les mentir si elle devait affirmer qu'elle s'était en fait mutilée, gardant une vieille cicatrice sur sa joue. Mais elle ne se souvient de rien. Absolument rien. Quand est-ce qu'elle s'était faite ça ? Mystère et boules de gomme. À l'heure qu'il est, elle a une nette préférence pour ce qui est d'agir au feeling, comme si chaque secondes, minutes ou heures était sa dernière. C'est dans ce style de survis qu'elle aspire à être et qu'elle s'amuse. Disons tout simplement qu'elle idolâtre les sensations extrêmes comme les soirées de sobriété, les manèges horripilants ou bien les loopings incertains. Sentir le vent à travers les pores de sa peau comme si elle pouvait voler et ne plus jamais revenir ; c'est une des sensations qu'elle n'oublierait sans doute jamais.


Pour conclure, Splendid, c'est Splendid. C'est une gamine chiante, peureuse, paranoïaque, irréfléchie, imprudente, antisociale, susceptible, péjorative, névrosée mais qui reste toutefois gaie. Elle n'aime pas l'Humanité, mais ce qu'elle produit. Elle ne se demande pas pourquoi untel existe, mais plutôt à quoi il lui servirait. Un enfoiré ? Dire le contraire serait mentir.</div></div></td> </td><td align="left"> <div style="margin:5px; font-size:10px; text-align:justify; background: #FFF0F0; padding:10px; border: #C1374E  solid  2px; -moz-border-radius: 10px; -webkit-border-radius: 10px; border-radius: 10px; box-shadow: 0px 0px 0px Black;"><div style="width:100%;height:220px;overflow:auto;">[color=#C1374E][b]Depuis combien de temps ton personnage est-il ici ?[/b][/color]
Mademoiselle Knowvaski demeure présente ici dès l'année de ses quatorze ans. Une habituée ? Certainement.

[color=#C1374E][b]Quelle relation ton personnage entretient avec les élèves ?[/b][/color]
Elle ne les aime pas. Ils la détestent. Est-ce assez concis ? Personne n'apprécie la tornade immaculée qu'elle est et c'est tout à fait à leur honneur : elle ne fait absolument rien pour paraître un peu plus sympathique à l'égard de ses camarades. En effet, certains la trouvent trop chiante, trop impulsive, trop bavarde, trop vulgaire, trop puérile, trop susceptible, trop, trop, trop. En bref, toute sa mauvaise personne a l'air de ressortir de façon... Extraordinairement bien multipliée par dix. Parfois, quand elle déprime (même si elle le fait quasiment toujours), ils ont généralement peur d'elle : son humour sarcastique et sa vision du monde péjorative les font tous fuir. Au fond, elle s'ennuie évidement à mourir, seule, dans son coin. Donc, si elle taquine quelques personnes, c'est certainement pour s'occuper. Ni plus, ni moins. Des jouets, dites-vous ? Que nenni !

[color=#C1374E][b]Quelle relation ton personnage entretient avec l'équipe de l'école ?[/b][/color]
Les conflits entre le corps enseignant et Splendid... Une merveilleuse histoire d'amour, vraiment. De son côté, elle trouve qu'ils la considèrent comme une gamine et. ELLE. DÉTESTE. CELA. ELLE A DIX-NEUF ANS, MERDE ! Djjkfakdaekdea. Donc, évidement, n'aimant pas du tout les enfants, finir comparée à son pire ennemi est tout simplement... Abhorrant. Donc, elle leur fait bouffer les pissenlits par la racine, à ces adultes qu'elle estime comme de simple... Boucs-émissaires. Ah oui, autant faire souffrir son professeur de science sociale, tant qu'on y est. Plaît-il ?

[color=#C1374E][b]Quelle est le niveau d'étude de ton personnage ?[/b][/color]
Eh bien, là, on pourrait avouer que l'on ignore complètement son niveau d'étude. En effet, séchant la quasi totalité de ses cours, on ne pouvait pas affirmer que son bulletin scolaire était... Remplie convenablement. Après tout, comment obtenir la meilleure note quand on n'a pas du tout fait l'examen en question ? C'est complètement impossible, pardi !  

[color=#C1374E][b]En quoi votre personnage a-t-il été un délinquant[/b][/color]
Splendid a peut-être honte de cela ou elle a complètement oublié ses pêches antérieurs, mais ses exploits ne sont pas véritablement une pierre à ajouter à l'édifice. D'ailleurs, son seul crime était peut-être d'avoir aimé. L'amour. Sentiment apparemment affectif, mais qui conduit irréversiblement dans les méandres de l'abysse. Elle avait quatorze ans. Elle était jeune, elle était féminine, elle avait absolument tout pour plaire : ou pas. Elle était trop timide, la pauvre. Et cacher ses rougeurs avec une peau aussi claire en compagnie d'une chevelure complètement immaculée n'était absolument pas une chose aisée ; au contraire, si elle arrivait à paraître complètement assurée auprès de ses camarades, cela serait, il en va de soit, un véritable miracle. Mais soit, passons. Elle était jeune. Elle croyait en l'amour, à toutes ces choses niaises qu'on débitait à la télé, aux promesses, aux parjures : elle était complètement crédule. Et la naïveté n'est pas une qualité, surtout quand on tombe sur [i]lui[/i]. [i]Lui[/i], il avait les mots. Il avait les gestes, les paroles rassurantes, les sourires ravivants. Il avait aussi happé son cœur, sa volonté, tout son être. Elle aurait tout fait pour [i]lui[/i]. Absolument tout. Et parce qu'il avait les mots, il réussissait à te convaincre de faire des actes immondes, à sombrer avec lui dans la déchéance. En effet, plus elle le fréquentait, plus son amour croissait, et plus elle dérivait. Un monde de luxure s'était dévoilé sous ses prunelles. Chaleureux, accueillant, austère, effrayant ; il avait pourtant tout pour lui plaire. Alors, elle avait aveuglément exhausser tous ses souhaits, le moindre de ses caprices. Pourquoi ? Parce qu'elle ne désirait que réaliser ses plus singulières perversités. Il était le diable. Elle, un ange déchu. Mais tout ça, elle ne le savait guère. Un jour, il l'avait appelée. Heureuse, épanouie, l'âme d'une amante germinale, elle s'était rendue au lieu indiqué. Celui qu'il l'avait indiquée. Mais un problème : il n'y avait personne. Enfin, personne qu'elle ne connaissait ; même pas [i]lui[/i]. Un homme se retourne vers elle. À son apparence de brute juvénile, elle a pouffé... Elle n'aurait pas dû car il lui demande l'argent. Ignorante, douce idiote, elle n'avait pas assimilé. Quel argent ? De quoi parlait-il ? Ses questions avaient été exhibées, le garçon, a représenté sa colère par un froncement de sourcils. Il lui explique tout. Tout. Même la vraie nature de son petit-ami. Elle n'a pas osé le croire : impossible, impossible. [i]Il[/i] était quelqu'un de très attentionné. Oui, cet homme ment assurément. Mais les produits illicites prouvent le contraire : [i]il[/i] était un dealer. Un arnaqueur. Un mécréant. Puis, la police. Pourquoi ? Chez elle, dans sa chambre, de la drogue : vous voyez le topo ? Aller hop, au commissariat, petite albinos. Toutes les preuves l'accablent ? Qu'importe. Elle l'aime trop. Elle fera tout pour lui. Alors, quand il lui a demandé de dire qu'il n'avait rien à voir dedans, elle avait obéi. Soumise. Et sa fierté ? Disons qu'elle n'en avait encore pas du tout. Jugée, condamnée, elle finit par vouloir se suicider quand son amour ne venait pas. Elle réussit presque. Presque. On l'a arrêtée. Ses parents l'ont exilée. Sol Falena ? Sainte-Croix ? Assurément. Au revoir, ancienne petite Splendid. Avant de tout oublier, elle s'était une nouvelle fois demandée comment. Comment elle avait fait pour être aussi naïve ? Aussi aveugle ? La réponse, elle la connait pourtant très bien : [b]Il avait les mots. Il était le renard, elle, le corbeau. [/b]
</div></div></td></td></tr></table>

[center]<img src="http://www.pixenli.com/images/1368/1368472812058952600.png" border="0" alt="" />[/center]
<div style="margin:5px; font-size:10px; text-align:justify;  background: #FFF0F0; padding:5px; border: #C1374E  solid  2px; -moz-border-radius: 10px; -webkit-border-radius: 10px; border-radius: 10px; box-shadow: 0px 0px 0px Black;"><div style="width:100%;height:140px;overflow:auto;">● Lettre à un [b]anonyme[/b], retrouvé par-ci, et par-là, dans son journal intime ; [b]Splendid[/b].
[quote]Je ne suis pas un ange et tant pis si ça te dérange, je m'en fous d'être étrange. Tant pis pour la raison, je vis pour le frison. Je me file, je me défile, toujours sur le fil. Comme un funambule, je m'enferme dans ma bulle. Et je fuis. Sans cesse, je m'enfuis. Je rêve d'enfer, de tant de chimères, de bonheurs éphémères. Lentement, ça me délivre, et j'ai enfin l'impression de vivre. Je sais que ces moments ne sont factices, que mon bonheur n'est qu'artifice, mais grâce à ça, j'oublie mon supplice. Et je survis. Je reste en vie, écoutant le silence de la nuit, il ne cesse de m'inspirer, me permettant de ne pas couler. 

Alors oui, je vis dans le noir, dans un monde illusoire. Je veux le bien qui me fait du mal, il comble mon vide abyssal. Et je cours, tout le temps. Pour moi, rien n'est vraiment important. Je veux de l'interdit, encore et toujours plus, je veux du délit. Et tant pis si ça me détruit. Pas le temps d'être sage, besoin d'exprimer ma rage. 

Suis-je normale ? Non, non, non. 
Je suis folle. Oui, rien qu'une folle. Il me l'a dit. Mais, lui, il a tout fait raté. 


Si tu savais comme je te hais. Si tu savais à quel point je t'exècre.... Mais tu continues d'ignorer cette réalité, n'est-ce pas ? Alors. Rien. Que. Pour. Te. Faire. Chier : j'oublierai tout. Mon ancienne vie. Moi. Et toi. Absolument tout.[/quote]

[spoiler=Lisez-moi O/].... BWAHAHA. PAS D'HISTOIRE POUR CE PERSOU LÀ ! Waiiiit ! La raison ? Je ne fais véritablement pas son histoire, là, alors autant continuer. D'abord par pure flemmardise, puis, pour garder un semblant de mystère sur ce fameux [b][i]lui[/i][/b]. :meurt: Bwef. J'AI FINI MA FICHE. Cdqkdjczdjdckqqdlc. 8D [/spoiler]</div></div>

[center]<img src="http://www.pixenli.com/images/1368/1368472827046110600.png" border="0" alt="" />[/center]

[b]C'est quoi ton nom ?[/b] Pandore. Ou le DCey de Dyeu. [color=crimson]♥[/color]
[b]Tu peux nous dire ton âge ?[/b] «[i] J'aime les enfants.[/i] »
[b]T'as lu le règlement ?[/b] Unknow.
[b]Comment t'as connu le forum ?[/b] Etoo.... :psychopathe:
[b]T'aimes les grenouilles ?[/b] Vhbcksdfksdlfwjmdoxwd.
[b]Autre chose mon chou ?[/b] Mon poussin s'appelle Gilbird. :meurt:


</div>
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